Dans cet article, nous allons parler de Freer Gallery of Art, un sujet qui a retenu l'attention de personnes de tous âges et de tous intérêts. Freer Gallery of Art est un sujet qui a généré beaucoup de débats et de controverses ces derniers temps, et il est important de l'analyser sous différents angles. De son impact sur la société à sa pertinence dans la culture populaire, Freer Gallery of Art s'est avéré être un sujet d'intérêt général qui mérite d'être exploré en profondeur. Tout au long de cet article, nous analyserons différents aspects de Freer Gallery of Art, de son origine à ses conséquences possibles dans le futur.
Nom local |
(en) Freer Gallery of Art and Arthur M. Sackler Gallery |
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Type | |
Ouverture |
1923 |
Visiteurs par an |
389 000 () |
Site web |
Architecte | |
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Protection |
Inscrit au NRHP () |
Pays | |
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Commune | |
Coordonnées |
La Freer Gallery of Art est un musée d'art asiatique et proche-oriental, fondé en 1923, situé à Washington, aux États-Unis. Il a été fondé par le magnat de la locomotive, Charles Lang Freer (en), autodidacte passionné d'art oriental dont les affaires sont à Détroit. Un sénateur, Charles Moore, l'invite à transférer sa collection à Washington et à la montrer au public. Freer expose d'abord ses huit mille pièces de collection dans un bâtiment néoclassique construit de 1916 à 1921 par Charles Adams Platt. L'inauguration du musée a lieu le . Il a été restauré au tournant des années 1980 et 1990 et a rouvert en 1993. Environ dix-huit mille pièces de collection se sont ajoutées à la collection initiale du musée depuis la mort en 1919 de Charles Freer.
La Freer Gallery of Art est administrée par la Smithsonian Institution.
En 2015, la Freer and Sackler Gallery met en accès libre (avec réutilisation possible, mais uniquement « à des fins éducatives, scientifiques, pour des projets artistiques et personnels qui ne seront pas commercialisés, promus ou vendus ») plus de 40 000 œuvres de sa collection asiatique[1] ; c'est le premier musée d’art asiatique américain à avoir ainsi numérisé puis « libéré » l'accès à ses collections[1].
La Freer Gallery of Art conserve un de ses rouleaux en longueur, signé Ke Song et daté de 1369, Dix mille bambous sur les collines près d'une rivière[2].