Dans le monde d'aujourd'hui, Georges Omaira est devenu un sujet d'intérêt pour une grande variété de personnes dans différents domaines. Que ce soit pour sa pertinence dans l'histoire, son impact sur la société moderne ou ses implications futures, Georges Omaira a attiré l'attention d'individus de tous âges et de toutes professions. Cet article cherche à explorer et analyser différents aspects liés à Georges Omaira, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante de ce sujet. De son origine à son évolution actuelle, en passant par ses conséquences possibles, notre objectif est d'offrir une perspective globale et complète qui permet à nos lecteurs de bien comprendre l'importance de Georges Omaira dans le monde dans lequel nous vivons.
Patriarche d'Antioche des Maronites | |
---|---|
- | |
Youssef Makhlouf el-Douaihy el-Ehdeni (d) | |
Évêque diocésain Diocèse d'Eden des Maronites (d) | |
- | |
Youssef Makhlouf el-Douaihy el-Ehdeni (d) | |
Évêque auxiliaire Patriarcat d'Antioche des Maronites (en) | |
- |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Activités |
Évêque catholique (à partir de ), grammairien, prêtre catholique |
Consécrateur |
Youssef Rizzi el-Bkoufani (d) |
---|
Georges Omaira ou Amira (1570? -1644), patriarche de l’Église maronite (1633-1644).
Georges Amira est né à Ehden. Il est envoyé à Rome, en 1583, pour étudier au Collège maronite qui est alors créé. Il revient au Liban en 1595, sous le pontificat de Clément VIII.
En 1596, il publie une ‘’grammaire syriaque et chaldaïque’’ en latin, l'une des premiers en Europe, et aussi une traduction du Nouveau Testament en syriaque.
Il est consacré évêque de Ehden en 1596 à la demande du Légat pontifical Dandini. En 1633, au décès du Patriarche Makhlouf, il est élu patriarche. Il est le premier étudiant du Collège maronite à être choisi pour ce poste, et le premier patriarche à ne pas être issu d’un ordre monastique.