Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'impact et la pertinence de Gilles Valiquette dans la société moderne. Gilles Valiquette est un sujet d'intérêt et de débat depuis des décennies, et son influence s'étend à de multiples domaines, de la politique et de l'économie à la culture et à la technologie. Grâce à une analyse approfondie, nous examinerons comment Gilles Valiquette a façonné nos perceptions, nos comportements et nos relations dans le monde d'aujourd'hui. De plus, nous aborderons les implications et les défis que Gilles Valiquette pose pour l'avenir, et comment son évolution continuera à façonner le cours de l'humanité.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Chanteur, réalisateur artistique, auteur-compositeur, artiste d'enregistrement |
Instrument | |
---|---|
Genre artistique | |
Discographie |
Discographie de Gilles Valiquette (d) |
Gilles Valiquette est un guitariste chanteur et harmoniciste, auteur-compositeur-interprète, arrangeur, réalisateur et producteur québécois né le à Montréal, Québec. Il est aussi propriétaire d'un commerce d'instruments de musique et auteur de livres, sur ses chansons notamment.
Il est guitariste, harmoniciste, chanteur et compositeur du groupe Someone de 1966 à 1971, groupe avec lequel il gravera deux 45 tours[1]. Il accompagne par la suite, à la guitare, le duo Liette et François. Il chante également dans les cafés avec Richard et sa sœur, Marie-Claire Séguin, qui forment le duo Séguin à l'époque. Il devient le guitariste de Jacques Michel - il fera la première partie de son spectacle -, lequel l'encourage à entreprendre une carrière en solo.
Soutenu par le réalisateur René Letarte, il lance un premier album acoustique Chansons pour un café à l'automne 1972, qui contient la chanson Tout est mieux là-haut n'est-ce pas? qui sera éventuellement reprise par Séguin. Son second album Deuxième arrêt, à saveur nettement plus rock, paraît à la fin de 1973 et lui apporte le succès avec Je suis cool et La Vie en rose.
Après avoir participé à l'album Pas besoin de frapper pour entrer de Jacques Michel à la guitare, à l'harmonica et aux chœurs, il cesse alors d'accompagner ce dernier et effectue quelques tournées au Québec, dont une avec Véronique Sanson avec qui il se produit également en Californie. Il tient la vedette d'un spectacle de la relève présenté à la Place des Arts de Montréal en 1974, année où il représente le Québec au Festival de Spa en Belgique. Son troisième album, Du même nom, sort la même année et on y retrouve la participation de Plume Latraverse sur la chanson 1954.
Jusqu'en 1979, Gilles maintient sa popularité avec des chansons évoquant le quotidien montréalais. Il effectue des tournées en Europe en (1977), en Louisiane et en Ontario (de 1978 à 1979).
En 1980, il tient le rôle du lecteur de nouvelles dans la première version québécoise de Starmania. La même année, il sort son album Valiquette, peut-être le plus recherché de sa discographie mais le moins connu. Il y est seul musicien, accompagné de Pierre Bertrand et Monique Fauteux aux chœurs. Il y joue une guitare acoustique 12 cordes Norman reliée à un synthétiseur Arp Avatar, un pédalier basse Taurus Moog et une batterie électronique Roland, il s'accompagne parfois d'un harmonica. En 1981, il donne un concert dans les studios de la station de radio montréalaise CKOI, où il joue des pièces de ce même album pour lequel il utilise le même équipement que sur l'album Valiquette, à nouveau il est accompagné de Pierre Bertrand et Monique Fauteux aux chœurs, assistés du technicien réalisateur Quentin Meek. L'année suivante, il participe, comme acteur et musicien, à la comédie musicale J'ramasse mes p'tits pis j'pars en tournée adaptée par Denise Filiatrault. Avec Pierre Bertrand, il chante en 1982 au Transit, au Vieux-Port de Montréal et au Festival d'été de Québec. On lui doit la réalisation de plusieurs albums pour Plume Latraverse, Daniel Lavoie, Richard Séguin, Paul Piché, Nicole Martin (en 1982 pour l'album Une affaire de cœur), Pierre Bertrand et Gilles Rivard. En 1982 toujours, Gilles fait les arrangements pour l'album Moi c'est Clémence que j'aime le mieux de Renée Claude, puis il participe comme choriste à la Fondation Québec-Afrique en chantant dans le projet collectif « Les Yeux de la faim » en 1985. Par la suite, il ouvre un commerce d'instruments de musique. Il continue toutefois de composer pour le cinéma, la télévision (la mini-série Rock; SRC), le théâtre, le ballet et le spectacle. Gilles transmet sa passion de la musique à ses enfants, son fils Louis joue dans les groupes The Sainte Catherines et Yesterday's Ring.
- Singles :
- Album :
Année | Catégorie | Pour | Résultat |
---|---|---|---|
1981[2] | microsillon de l'année | Starmania made in Québec (avec la troupe Starmania) | nomination |
microsillon de l'année - rock | lauréat | ||
spectacle de l'année - musique et chansons | Starmania made in Québec (avec la troupe Starmania) | lauréat | |
1993[3] | auteur ou compositeur de l'année | Gilles Valiquette | nomination |
Année | Catégorie | Pour | Résultat |
---|---|---|---|
1979[4] | réalisateur de l'année / disque | Gilles Valiquette | nomination |