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Le départ fictif est donné devant le Conseil Général des Bouches du Rhône au nord de Marseille. Après un défilé de 9 km, les coureurs franchissent la ligne du départ réel sur la RD908 à Allauch.
Leur grande boucle passe par Peypin, puis Trets et Auriol avant de redescendre vers Aubagne et Cassis.
Ils rentrent dans Marseille par la D559 et l'arrivée est jugée devant le Stade Vélodrome.
Le parcours comprend notamment trois côtes comptant pour le Grand Prix de la Montagne (les trois premiers en haut de chacune de ces côtes remportent respectivement 6, 4 et 2 pts)
Kilomètre
Nom
62,2
Col du Petit Galibier
87,1
Col de l'Espigoulier
109,7
Sommet Julhan Les Bastides
Résumé de la course
Après seulement 15 minutes de courses, trois Français créent l'échappée du jour : Jérémy Roy (FDJ), Sylvain Georges (BigMat-Auber 93) et Julien Guay (Roubaix Lille Métropole). Ils montent petit à petit leur avance pour passer en tête du Col du Petit Galibier (km 62,2) avec près de 8 minutes d'avance. Par la suite le peloton a éclaté en deux et le premier groupe, mené par les Cofidis, mène la poursuite et réduit l'écart à 6 minute 30, puis à 3 minutes 35 au sommet de la deuxième difficulté, le Col de l'Espigoulier (km 87,1).
Devant, Julien Guay est lâché par ses deux compagnons d'échapée à Géménos (km 98) et coupe rapidement son effort.
Alors qu'au sommet de Julhan (km 109,7), l'écart s'était réduit à 3 minutes 10, Jérémy Roy attaque au passage de La Bédoule (km 115) et se retrouve seul en tête. Il entre dans Marseille avec 1 minute 05 sur Sylvain Georges et 3 minutes 17 sur le peloton.
Les dés sont jetés et Jérémy Roy de la FDJ s'impose en solitaire. Il aura quasiment fait toute la course en tête. Sylvain Georges passe la ligne en deuxième position juste devant le peloton dont le sprint a été remporté par Romain Feillu (Vacansoleil-DCM).
Le règlement indique que tous les coureurs arrivant dans un temps supérieur à 105% du temps du premier seront hors délais. Or, le premier ayant fini en 3 h 30 min 55 s, les délais ne sont que de 10 min 32 s, ce qui explique le nombre important de coureurs hors délais.