Dans cet article, nous explorerons Guy Ier de Laval-Loué, un sujet qui a suscité intérêt et débat dans divers domaines. Depuis son émergence, Guy Ier de Laval-Loué a retenu l’attention de nombreuses personnes et suscité différents points de vue et opinions. Au fil du temps, Guy Ier de Laval-Loué a évolué et est devenu un sujet pertinent dans la société actuelle. Dans cet article, nous examinerons les différents aspects et perspectives liés à Guy Ier de Laval-Loué, dans le but d'offrir une vision complète et équilibrée sur ce sujet. De plus, nous analyserons son impact sur divers secteurs et comment il a influencé la façon dont nous affrontons et relevons les défis qui se présentent.
Père | |
---|---|
Mère |
Eustachie de Bauçay, Dame de Benais (d) |
Fratrie | |
Conjoint |
Jeanne de Pommereux, Dame de Pommereux (d) |
Enfants |
Guy Ier de Laval-Loué, seigneur de Loué, Brée, Hermet et Fougerolles[1].
Il est fils puîné d'André de Laval et d'Eustach(i)e de Bauçay (Baussay à Mouterre-Silly et la Mothe-Bauçay ; dame de Benais), et le frère de Jean de Laval-Châtillon (-en-Vendelais). Il épouse Jeanne de Pommerieux, dame de Pommerieux et de Saint-Aubin-en-Craonnais (remariée, veuve, à Jean de Couesmes : grands-parents de Brisgault de Couesmes). Il reçoit en partage les seigneuries de Loué et de Benays, auxquelles il joint celle de Brée (après la mort de Mathieu et François de Laval, ses frère et neveu ? ; mais ces deux personnages semblent légendaires : cf. les seigneurs de Brée).
Il est le père de :
Après avoir placé sur le trône Henri de Trastamare, les grandes compagnies rentrent en France. Une des compagnies pille Vire en 1368[4], puis conduite par Jehan Cercle et Folcquin Lallemant s'empare de Château-Gontier[5]. En , la même troupe part assiéger La Roche-sur-Yon. Charles V de France demande au sire de Craon de s'y opposer. Ce dernier réunit une troupe nombreuse autour de Baugé, composée de nombreux seigneurs de Laval[6] et des environs dont Guy de Laval-Loué.
Il fut commis, avec son frère Jean de Laval, seigneur de Châtillon, par Charles V, en 1370, à la garde des châteaux de Bauçay ou Baussay et de Balon. Il mourut en 1388[7]. Il commença la branche connue sous le nom de Laval-Loué.
Guy de Laval brisait les armes de sa branche d'un franc canton de gueules, à la croix d'or, qui est de Bauçay ; alors que son frère aîné Jean, seigneur de Châtillon, portait pour brisure l'écusson de Beaumont-le-Vicomte (leur grand-mère paternelle était Jeanne de Brienne de Beaumont) : D'azur, semé de fleurs de lys d'or ; au lion du même brochant ; les armes des Pommerieux sont : D'argent, à dix annelets de gueules. Ces armes furent reprises par Jean et Thibault de Laval, seigneurs de Loué[8].