Dans le monde d'aujourd'hui, Hansel e Gretel est un sujet qui a acquis une grande importance et qui a suscité un large intérêt dans la société. Que ce soit en raison de son impact sur la vie quotidienne des gens, de sa pertinence dans le domaine professionnel ou de son influence sur le développement technologique, Hansel e Gretel est devenu un sujet de conversation récurrent dans différents domaines. Dans cet article, nous explorerons en profondeur les aspects les plus pertinents de Hansel e Gretel et analyserons son importance dans le contexte actuel. De plus, nous examinerons son évolution au fil du temps et son impact possible dans le futur.
Réalisation |
Giovanni Simonelli (it) Lucio Fulci |
---|---|
Scénario | Giovanni Simonelli (it) |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Cine Duck |
Pays de production |
![]() |
Genre | Conte d'horreur |
Durée | 87 minutes |
Sortie | 1990 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Hansel e Gretel est un téléfilm italien diffusé en 1990. Il est réalisé et scénarisé par Giovanni Simonelli (it), accompagné officieusement par Lucio Fulci[1]. Il s'agit d'une adaptation libre du conte populaire Hansel et Gretel, publié en 1815 par les frères Grimm dans l'anthologie Contes de l'enfance et du foyer.
les 2 enfants sont victimes de trafic d'organes et ils deviennent des revenants vengeurs.
Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données cinématographiques IMDb, présente dans la section « Liens externes ».
Selon l'assistant réalisateur Michele de Angelis, le réalisateur et scénariste Giovanni Simonelli était peu intéressé par son téléfilm, au point de parfois déserter le plateau de tournage sans donner d'explication. Finalement, Lucio Fulci, jugeant le film trop court, tournera et ajoutera plusieurs scènes pour terminer le film[2].
Les critiques sont globalement négatives. Selon Gilles Vanier « Difficile de se montrer clément avec cet ersatz tardif d'enfants tueurs qui se rapproche finalement autant du piètre Une si gentille petite fille d'Eddy Matalon que du tout venant de la production fulcienne, même tardive. »[3]. D'après Alessandro Columbo, « Fulci aurait dû expliquer au nouveau venu Simoneli que quelques scènes gores ne suffisent pas à faire un bon film d'horreur »[4].