Dans cet article, nous allons parler de Henri Christiné, un sujet qui a gagné en importance ces dernières années. Henri Christiné est un sujet qui a suscité l'intérêt de personnes de tous âges et de tous horizons, car il a un impact direct sur la société actuelle. Au fil des années, Henri Christiné a généré des débats et des controverses parmi les experts et les fans, nous amenant à nous demander quelle est sa véritable signification et quelles implications elle a sur nos vies. Dans cet article, nous explorerons Henri Christiné en profondeur et tenterons de faire la lumière sur ce sujet passionnant et pertinent aujourd'hui.
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Henri Marius Christiné est un auteur, compositeur et éditeur français[1] d'origine suisse, né le à Genève et mort le à Nice[2].
Avant la Première Guerre mondiale, Christiné écrit de nombreuses chansonnettes pour Harry Fragson (Je connais une blonde, Reviens), Mayol, Polin, ou encore Yvonne Printemps. Il est également chef d'orchestre à L'Européen, le music-hall de la place Clichy. Selon l'article de Pierre Chapelle dans Le Cornet (1922, cf. source), Christiné « aurait débuté brillamment dans la pédagogie à 90 francs par mois, après de fortes humanités ».
Il compose pour Fréhel la chanson C'est une gosse en 1908. Fréhel a alors 18 ans, et est présentée comme Mlle Pervenche de l'Eldorado.
Sa carrière prend un tournant après la guerre grâce au succès phénoménal de son opérette Phi-Phi, créée le lendemain même de l'Armistice, sur des textes d'Albert Willemetz et Fabien Sollar, et qui se joue sans interruption trois ans durant au Théâtre des Bouffes-Parisiens. Elle est suivie d'autres succès comme Dédé (1921), avec Maurice Chevalier, Madame (1923) ou encore J'adore ça (1925) qui lui valent une réputation internationale.
Éditeur, il publie les premières chansons de Vincent Scotto (dont il réécrit également les paroles de La Petite Tonkinoise[3]). Dans la vie faut pas s'en faire (1921) et Valentine (1925), chantées par Maurice Chevalier, comptent parmi ses plus grands succès.