Dans le monde d'aujourd'hui, Henry Somm est un sujet qui a retenu l'attention de millions de personnes à travers le monde. Depuis son émergence, Henry Somm a généré des débats, des discussions, et a eu un impact significatif sur divers pans de la société. Sa pertinence a transcendé les frontières et a suscité un intérêt croissant dans différents secteurs, du domaine académique et scientifique au monde du divertissement et de la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons en profondeur l'impact de Henry Somm et analyserons ses effets sur la vie quotidienne des gens. De même, nous examinerons son influence sur différents aspects de la société et réfléchirons à son évolution au fil du temps.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Cimetière parisien de Pantin (depuis le ) |
Période d'activité |
- |
Nom de naissance |
François Clément Sommier |
Nationalité | |
Activités | |
Maître | |
Lieu de travail |
François Clément Sommier, dit Henry Somm, né le à Rouen[1] et mort le à Paris[2], est un peintre, aquarelliste, dessinateur, graveur et caricaturiste français.
François Clément Sommier est le fils de François Sommier, employé et teneur de livres et de Désirée Clémence Laquerrière, mariés à Rouen le 29 avril 1843[3]. Cet artiste est demeuré célibataire. Il est inhumé au cimetière parisien de Pantin.
Après avoir étudié à l'école municipale de dessin de Rouen, où il suit les cours de Gustave Morin[4], Henry Somm s'installe à Paris dans les années 1860.
Il exécute de nombreuses gravures pour la revue Paris à l'eau-forte entre 1873 et 1876, et, pour Cadart, entre autres, quelques hors-textes destinés à L'Eau forte en…[5].
En 1879, il participe à la quatrième exposition des impressionnistes à l'invitation de Degas, avenue de l'Opéra à Paris.
Il collabore avec la presse : Le Chat noir, La Charge, La Cravache, La Chronique parisienne, High Life, Frou-Frou, Le Rire.
Il a laissé une importante quantité de dessins et d'aquarelles de parisiennes saisies sur le vif dans les années 1890.
En , son cousin, Anatole Laquerrière, architecte à Paris, organise une exposition posthume de ses œuvres à Rouen[6],[7].
Henry Somm organise au Chat noir l'installation d'un guignol, qui est la première tentative théâtrale de ce cabaret[8]. Dans ce cadre, il écrit la comédie en un acte La Berline de l’émigré, ou Jamais trop tard pour bien faire, créée pour Le Chat noir, le [9].
Cette expérience se poursuit par la création d'un théâtre d'ombres, inauguré par L’Éléphant, dont il est l'auteur. Suivent La Potiche, le Fils de l'Eunuque, Avant le Salon et De Cythère à Montmartre (1888)[10], également œuvres d'Henry Somm.