De nos jours, Hyundai Motor Group est un sujet qui revêt une grande importance dans la société. Son impact se reflète dans différents domaines de la vie quotidienne, de la politique à la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons les implications et la signification de Hyundai Motor Group, en analysant son évolution dans le temps et son influence sur le monde contemporain. De plus, nous examinerons comment Hyundai Motor Group a façonné la façon dont nous interagissons avec l'environnement et avec les autres, ainsi que son rôle dans la formation de nos expériences individuelles et collectives. Hyundai Motor Group est un phénomène qui ne se limite pas à une seule sphère de la société, mais traverse les frontières et les barrières, générant des discussions et des débats à tous les niveaux.
Hyundai Motor Group | |
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Création | |
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Fondateurs | ![]() |
Personnages clés | Chung Mong-Koo |
Forme juridique | Conglomérat |
Siège social | Séoul, Seocho-gu![]() |
Direction | ![]() |
Activité | Construction automobile, Équipement Automobile, Informatique, Aviation, Marine |
Produits | Automobile, Ordinateurs, Avions, Bateaux. |
Filiales | Hyundai Motor, Kia Motors, Hyundai Mobis, Hyundai Steel, Hyundai Engineering & Construction |
Site web | www.hyundai.co.kr |
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Hyundai Motor Group (en coréen 현대자동차그룹/現代自動車) est un conglomérat sud-coréen basé sur Hyundai Motor. Il est 3e au classement en nombre de ventes d'automobiles en 2019. Ce conglomérat comprend Hyundai Motor, Kia Motors, Hyundai Mobis, etc.
Hyundai Mobis | 21,4 % |
Service national des pensions de Corée | 8,79 % |
Hyundai Motor Company (autodétention) | 5,97 % |
Chung Mong-koo | 5,33 % |
Chung Eui-sun (en) | 2,62 % |
The Vanguard Group | 1,63 % |
Norges Bank Investment Management | 1,15 % |
Fidelity Management & Research | 1,12 % |
Thornburg Investment Management | 1,09 % |
Capital Research & Management (World Investors) | 0,90 % |
En avril 2024, Hyundai Motor Group a été condamné en Allemagne[2] à 58 millions d’euros d’amende pour fraude aux tests d’homologation: la société avait équipé ses véhicules de logiciels destinés à abaisser la mesure des oxydes d'azote lors de ces tests, une fraude également effectuée par plusieurs autres constructeurs.