Dans cet article, nous analyserons l'impact de Igor Rodnianski dans la société actuelle, en explorant ses implications dans différents domaines. Igor Rodnianski a fait l'objet de recherches et de débats ces dernières années, et son influence est évidente dans des domaines tels que la technologie, la politique, la culture et l'économie. A travers cette analyse, nous chercherons à comprendre à quel point Igor Rodnianski a transformé notre façon de penser, d'interagir et de vivre dans le monde contemporain. De même, nous examinerons les défis et les opportunités que Igor Rodnianski présente pour l'avenir, en tenant compte des diverses perspectives et opinions sur la question.
Naissance | |
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Nationalité | |
Formation |
Université d'État de Saint-Pétersbourg (master of science) (jusqu'en ) Université d'État du Kansas (doctorat) (jusqu'en ) |
Activités |
A travaillé pour |
Université de Princeton (depuis ) |
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Directeur de thèse |
Lev Kapitanski (d) |
Distinctions |
Igor Rodnianski (russe : Игорь Роднянский, Igor Rodnyansky ; né le à Kiev) est un physicien mathématique et mathématicien russo-américain.
Rodnianski est diplômé en physique de l'Université d'État de Saint-Pétersbourg en 1996. Il s'est ensuite rendu aux États-Unis, où il a obtenu son doctorat en mathématiques en 1999 sous la direction de Lev Kapitanski à la Kansas State University avec une thèse intitulée Pseudoholomorphic curves in almost complex manifolds (Courbes pseudoholomorphes dans des variétés presque complexes)[1]. Il est professeur adjoint de physique mathématique à l'Université de Princeton en 2000 et devient professeur de mathématiques au Massachusetts Institute of Technology en 2011[2]. Au printemps 2011, il devient totulaire de la chaire Henry Burchard Fine Professor of Mathematics à l'Université de Princeton[3].
Rodnianski traite en particulier des équations aux dérivées partielles hyperboliques (comme les équations d'onde non-linéaires), des équations de Schrödinger (linéaires et non linéaires) ainsi que des solutions des équations de champ de la relativité générale et de l'analyse harmonique. Avec Sergiu Klainerman, il a étudié des solutions de régularité minimale (solutions brutes) des équations d'Einstein en relativité générale. Avec Klainerman et Jérémie Szeftel, il a prouvé en 2015 la conjecture de courbure- pour le problème de détermination de la valeur initiale de la courbure des équations de vide d'Einstein de Klainerman[4]. Avec Hans Lindblad, il a donné une nouvelle preuve de la stabilité globale de l'espace-temps de Minkowski (à partir des travaux originaux de Demetrios Christodoulou et Sergiu Klainerman).
En 2002, il est devenu Long Term Prize Fellow de l'Institut de mathématiques Clay. En 2006, il est invité à participer au Congrès international des mathématiciens à Madrid avec une conférence intitulée Le problème de Cauchy en relativité générale. En 2011, il a reçu le prix Fermat pour ses travaux sur la structure mathématique des équations des équations en relativité générale[5]. En 2017, il reçoit un Simons Investigator Award de la Fondation Simons[6]. En 2023 il est lauréat du prix Bôcher, avec Frank Merle, Pierre Raphaël et Jérémie Szeftel, pour leurs travaux novateurs qui ont démontré l'existence de solutions explosives pour l'équation NLS défocalisante (équation de Schrödinger non linéaire) dans certains régimes supercritiques et pour les équations d'Euler et de Navier-Stokes compressibles[7].
À l'exception des écrits cités en notes :