Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Jacqueline Bouchot, couvrant tout, de son origine historique à sa pertinence aujourd'hui. _Var1 représente un sujet qui a retenu l'attention de nombreux chercheurs et experts dans le domaine, suscitant un intérêt croissant pour divers domaines de la connaissance. Au cours des prochaines lignes, nous examinerons les multiples facettes et dimensions de Jacqueline Bouchot, en analysant son impact sur la société et son influence dans différents contextes. Nous approfondirons sa signification profonde, en discutant de ses implications et de ses répercussions sur le panorama actuel. À travers cette exploration détaillée, nous visons à faire la lumière sur Jacqueline Bouchot et à approfondir son essence, offrant au lecteur une perspective enrichissante et éclairante sur ce sujet passionnant.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Jacqueline Marie Louise Joséphine Henriette Bouchot |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Père | |
Conjoint | |
Parentèle |
Jean Bouchot (frère) |
Distinctions |
---|
Jacqueline Marie Louise Joséphine Henriette Bouchot ou Jacqueline Bouchot-Saupique (Paris, - Dole, [1],[2]) est une professeure à l'École du Louvre ainsi que la première femme conservatrice au musée du Louvre. Elle devient conservatrice en chef au cabinet des dessins du Louvre.
Jacqueline Bouchot est née à Paris en 1893 de Henri Bouchot, conservateur à la BNF et Claire Chevalier. Son père, d'origine comtoise, meurt en 1906. Son frère Jean Bouchot (1886-1932) est conservateur du musée de Besançon. Elle fréquente l'École nationale supérieure des arts décoratifs et expose au Salon des artistes français. Elle entre à l'École du Louvre et soutient une thèse sur Jean Gigoux en 1919. Parmi les amis de sa famille, Georges Gazier, bibliothécaire en 1903, à la bibliothèque municipale de Besançon.
Elle épouse, le à Paris[3], Georges Saupique (1889-1961), sculpteur. Ils sont alors domiciliés 105 rue Notre Dame des Champs. Elle devient attachée bénévole au département des peintures, comme assistante de Paul Jamot. De 1940 à 1944, elle assure les fonctions de secrétaire de la Direction des Musées nationaux, auprès de Jacques Jaujard puis elle est nommée, conservatrice le . Elle est nommée professeure du cours d'histoire du dessin à l'École du Louvre de 1955 à 1963. Elle perd son mari à la veille de l'exposition rétrospective au musée Rodin. Elle organise de nombreuses expositions et conférences en France et à l'étranger et écrit de nombreuses publications[4].