Aujourd'hui, Jacques-Alain Miller est un sujet devenu de plus en plus pertinent dans notre société. C’est devenu un point d’intérêt pour les personnes de tous âges et du monde entier. Son impact peut être observé dans différents domaines de la vie quotidienne, de la politique et de l’économie à la culture et au divertissement. Jacques-Alain Miller a suscité des débats passionnés et généré différentes opinions et perspectives. Dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Jacques-Alain Miller, de son origine à son influence aujourd'hui, ainsi que les scénarios futurs possibles qui pourraient survenir à la suite de son évolution.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Domicile | |
Formation | |
Activités | |
Fratrie | |
Conjoint |
Judith Miller (depuis ) |
Parentèle |
Jacques Lacan (beau-père) |
A travaillé pour | |
---|---|
Influencé par |
Jacques-Alain Miller (né le à Châteauroux) est un psychanalyste français. Il a contribué à la fondation de l'École de la cause freudienne et est éditeur des séminaires de Jacques Lacan, dont il est le gendre.
Il est le fils aîné de parents aux origines juives et polonaises. Son père, Jean Miller, médecin radiologue, est petit-fils de rabbin[réf. nécessaire]. Sa mère, Eve Milecka, pharmacienne[réf. nécessaire]. Il épouse Judith Lacan, fille de Jacques Lacan et de Sylvia Bataille. Son frère cadet est le psychanalyste, écrivain et animateur de télévision Gérard Miller.
Il fait ses études secondaires au lycée Charlemagne, au lycée Janson-de-Sailly puis intègre une classe de khâgne au lycée Louis-le-Grand, où il a comme condisciple Robert Linhart[réf. nécessaire]. Reçu en 1962 au concours d'entrée à l’École normale supérieure de la rue d'Ulm, il obtient l'agrégation de philosophie, puis suit, à la fin des années 1960, les séminaires de Roland Barthes à l’École pratique des hautes études (EPHE)[réf. nécessaire]. Disciple depuis ses études à l'ENS du philosophe Louis Althusser et surtout du psychanalyste Jacques Lacan, il est légataire des œuvres littéraires de ce dernier et se charge de l'édition de ses séminaires[réf. nécessaire].
Miller devient psychanalyste, d'orientation lacanienne. De 1973 à 1981, il enseigne dans le cadre du département de psychanalyse de l'université Paris 8 et est membre de la Section clinique (EA4007), puis il loue une salle au théâtre Déjazet à Paris, et poursuit un enseignement extra-universitaire. Il publie Lettres à l'opinion éclairée (2001) et le Neveu de Lacan (2003). Il crée le « Forum des psys » pour soutenir la pensée lacanienne, et il y fait intervenir Bernard-Henri Lévy, Catherine Clément, Philippe Sollers notamment.
Jacques-Alain Miller dirige l’École de la cause freudienne depuis 1981 et, en 1992, fonde l'Association mondiale de psychanalyse, constellation d'associations internationales partenaires de l'ECF.
Il est un psychanalyste de l'après-Lacan. En 2006, il dirige l'édition de l’Anti-Livre noir de la psychanalyse. Il fonde le journal Le Nouvel Âne (LNA)[réf. nécessaire].
Le , le tribunal de grande instance de Paris rend un jugement en sa faveur sur le bien-fondé de l'action de publication du séminaire par Jacques-Alain Miller[réf. nécessaire].
La question de la publication des séminaires reprend en 2011. Après avoir annoncé en janvier avoir quasiment achevé le travail de rédaction des dix séminaires restants, Miller accuse son éditeur, les Éditions du Seuil, de ne pas publier les séminaires qu'il lui aurait remis. À la fin de l'été 2011, il reproche cette fois à l'éditeur de vouloir effacer son nom de la publication des séminaires alors que Lacan, dont il est le gendre, avait expressément exigé que son nom figurât auprès du sien dans cette publication. Le , lors d'une réunion à Paris, il décide de changer d'éditeur et rejoint les Éditions La Martinière. Depuis le Séminaire XIV "La logique du fantasme" et le Séminaire XV "L'acte psychanalytique" sont parus aux Éditions du Seuil.
Il fut chroniqueur au magazine Le Point de 2011 à 2015.