Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Jacques-Olivier Boudon, en explorant ses origines, ses applications et sa pertinence dans le contexte actuel. De sa découverte à ses manières innovantes de l'utiliser, Jacques-Olivier Boudon a suscité l'intérêt de nombreux experts et fans, déclenchant des débats et provoquant des réflexions sur son impact sur la société. Dans cette optique, nous analyserons en détail les différentes perspectives qui existent autour de Jacques-Olivier Boudon, ainsi que les éventuelles implications que ce phénomène peut avoir sur notre vie quotidienne. Préparez-vous à vous plonger dans un voyage de découverte qui vous dévoilera des aspects surprenants de Jacques-Olivier Boudon et vous invitera à réfléchir sur son importance dans le monde contemporain.
Il est professeur d'histoire contemporaine à Sorbonne Université depuis 2003. C'est un spécialiste reconnu de l'histoire de la Révolution française et du Premier Empire. Il travaille également sur l'histoire religieuse contemporaine.
Il exerce la fonction de maître de conférences à l’Institut d'études politiques de Paris dès 1992, jusqu'en 1994 d'une part et en histoire contemporaine à l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV) de 1992 à 1998 d'autre part, avant de devenir professeur à l'université de Rouen jusqu'en 2003.
En , il obtient l'habilitation à diriger des recherches en histoire par l’université Paris-Sorbonne (Paris IV)[3]. Du au , il exerça la fonction de directeur du GRHIS (Groupe de recherches en histoire de l'université de Rouen) (FRE, puis EA).
Depuis le , il est professeur à l’université Paris-Sorbonne (Paris IV). Il exerce également la fonction de directeur du CIES-Sorbonne depuis le .
Depuis 2012, il est membre du conseil scientifique du Figaro histoire[4].
Le , il fait partie des signataires d'une tribune de chercheurs et d'universitaires annonçant avoir voté Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle française de 2017 et appelant à voter pour lui au second, en raison notamment de son projet pour l'enseignement supérieur et la recherche[5].
Responsabilités
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Membre du Conseil scientifique de l’université Paris Sorbonne depuis
Président de l’Assemblée des directeurs de CIES depuis
Président de l’Institut Napoléon depuis 1999 et directeur de publication de la Revue de l’Institut Napoléon.
Membre du jury des Grands Prix de la Fondation Napoléon depuis 2001 (4 prix attribués à des ouvrages sur les deux Empires et 6 bourses attribuées à des doctorants)
Membre du jury du prix Mérimée (attribué à une thèse portant sur le Second Empire)
Membre du jury des prix de la Chancellerie de Paris (prix Marie Benabou)
Membre du CTHS, section histoire contemporaine et du temps présent
Membre du Comité scientifique de la Mission historique française en Allemagne
Membre du conseil scientifique de l’Institut Marc Sangnier.
Membre du conseil d’administration de la Société d’histoire religieuse de la France et du comité de rédaction de la Revue d’Histoire de l’Église de France.
Membre du comité éditorial de la revue Histoire du christianisme.
L’épiscopat français à l’époque concordataire (1802-1905) : origines, formation, nomination, Paris, Éditions du Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France », 1996, 589 p.
Religion et culture en Europe au XIXe siècle (1800-1914), Paris, Armand Colin, coll. « U », 2001, 288 p. (en collaboration).
Les élites religieuses à l’époque de Napoléon : dictionnaire des évêques et vicaires généraux du Premier Empire, Paris, Nouveau monde Édition/Fondation Napoléon, 2002, 314 p.
Napoléon et les cultes : les religions en Europe à l’aube du XIXe siècle (1800-1815), Paris, Fayard, 2002, 370 p.
Napoléon Ier et son temps, Paris, Vuibert, coll. « Regards d’auteurs », 2004, 280 p.
Passion Napoléon : par l’épée et par la plume, Paris, Textuel, 2004, 192 p.
La France et l'Europe de Napoléon, Paris, Armand Colin, coll. « U », 2006, 343 p.
Le roi Jérôme, Paris, Fayard, 2008, 747 p.
Napoléon expliqué à mes enfants, Paris, Le Seuil, 2009, 96 p.
Les habits neufs de Napoléon, Paris, Bourin Éditeur, 2009, 180 p.
Les Bonaparte : regard sur la France impériale, La Documentation française, dossier no 8073 de janvier-, 64 p.
Le sexe sous l'Empire, La Librairie Vuibert, 2019.
Les quatre sergents de La Rochelle, Passés composés, 2021.
Napoléon et l'Aquitaine, une région entre fidélité et rébellion, Memoring, coll. « Figures de la Nouvelle-Aquitaine », 2022
Ils voulaient tuer Napoléon : Complots et conspirations contre l'Empereur, Tallandier, 2022, 336 p. (ISBN979-1021048089)
Il a également dirigé les ouvrages suivants :
Brumaire, la prise de pouvoir de Bonaparte, actes du colloque du organisé par l’Institut Napoléon et la bibliothèque Marmottan, Paris, SPM, Collection de l’Institut Napoléon no 1, 2002, 180 p.
Napoléon et les Lycées. Enseignement et société en Europe au début du XIXe siècle, actes du colloque organisé par l’Institut Napoléon et la bibliothèque Marmottan, les 15 et , Paris, Nouveau Monde Édition/Fondation Napoléon, 2004, 400 p.
Armée, guerre et société à l’époque napoléonienne, actes du colloque organisé par l’Institut Napoléon et la bibliothèque Marmottan, les 15 et , Paris, SPM, Collection de l’Institut Napoléon no 3, 2004, 260 p.
Les Troupes de la marine et les colonies sous le Premier Empire, avec Antoine Champeaux, actes du colloque organisé les 28 et à Fréjus, Panazol, Lavauzelle, 2005, 274 p.
Éric Anceau, Jacques-Olivier Boudon et Olivier Dard, Histoire des internationales, Nouveau Monde éditions, 2017, 320 p.
Ainsi qu’une centaine d’articles ou contributions à des ouvrages collectifs.