Dans le monde d'aujourd'hui, Jacques Amalric a joué un rôle fondamental dans nos vies. De son impact sur la société à son influence sur la culture, Jacques Amalric a eu un impact significatif sur divers aspects de la vie quotidienne. Alors que nous continuons d'avancer dans le 21e siècle, Jacques Amalric continue de capter l'attention des personnes de tous âges, sexes et origines. Dans cet article, nous explorerons le rôle que joue Jacques Amalric dans notre société moderne, en analysant ses implications et sa signification par rapport à différents contextes et moments historiques.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture |
Cimetière de Piana (d) |
Nom de naissance |
Jacques Gérard Gaston André Amalric |
Nationalité | |
Activités |
Journaliste, éditorialiste, journaliste d'opinion, analyste |
Rédacteur à | |
Conjoints |
Nicole Zand Isaline de Comarmond (d) |
Enfant |
A travaillé pour |
Libération (- Le Monde (- |
---|
Jacques Amalric, né le à Montauban et mort le à Ajaccio[1],[2], est un journaliste français de presse écrite qui fut notamment rédacteur en chef au journal Le Monde et directeur de la rédaction de Libération.
Après des études supérieures en économie politique et un service militaire qu’il effectue partiellement en Algérie, Jacques Amalric entre dans le journalisme à La Dépêche du Midi[2]. En 1963, recruté par Hubert Beuve-Méry[3], il entre au journal Le Monde comme journaliste au service étranger et sera correspondant du quotidien à Washington (1970-1973), où il couvre notamment le Watergate[3], puis à Moscou (1973-1977)[4],[5] où, opposé à la politique de Brejnev, il s'attire les foudres du KGB[3]. De 1977 à 1990, il est chef du service étranger et, de 1990 à 1993, rédacteur en chef. Il écrit aussi régulièrement pour le Monde Diplomatique.
Ses anciens collègues Sylvie Kauffmann et Alain Frachon le décrivent comme « un monument de savoir-faire journalistique : éditorialiste, analyste, envoyé spécial, correspondant, accoucheur de « manchettes », animateur d’équipes. Par-dessus tout, il avait cette aptitude à attraper dans l’air du temps ce qui va faire les titres de l’actualité[2]. »
En 1980, il est candidat à la succession de Jacques Fauvet à la tête du quotidien lors de la première élection d'un directeur par les journalistes — une première mondiale dans le milieu de la presse —, remportée finalement par Claude Julien[6],[7]. Il rejoint ensuite en 1994 le journal Libération – dont il sera le directeur de la rédaction de 2000 à 2002 succédant à Frédéric Filloux – où il écrit jusqu'en 2006[8].
Enfin, retiré en Corse où il s’installe avec sa seconde femme, Isaline de Comarmond[9], il soutient ensuite le site d'informations Rue89[10] en en devenant actionnaire minoritaire et tient une chronique pour Alternatives économiques[3].
Sa première épouse est Nicole Zand — journaliste et spécialiste de littérature étrangère au Monde — avec laquelle il eut ses trois enfants (Judith, Alexandre et l'acteur Mathieu Amalric).
Sa deuxième épouse est Isaline de Comarmond[2].