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Jacques Serge Maurice Busse |
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Jacques Serge Busse, né le à Vincennes et mort le à Paris 14e[1], est un peintre, pastelliste, lithographe, sérigraphe, dessinateur, illustrateur, historien de l'art et professeur français.
Après des études au Lycée Charlemagne, Jacques Busse entre en 1942 à l'Académie de la Grande Chaumière, dans le quartier du Montparnasse où il devient l'élève d'Othon Friesz[2] et forme le groupe de l'Échelle avec Jean-Marie Calmettes, Jean Cortot, Michel Patrix. Entre 1943 et 1944, il est déporté en Allemagne dans le cadre du travail obligatoire[2]. Après la guerre, en 1945, il participe au premier Salon de mai et est membre du Comité de ce Salon de 1957 à 1970. À partir de 1958 et jusqu'à son décès, il expose au Salon des Réalités Nouvelles. Il est président du Salon des Réalités Nouvelles de 1980 à 1995.
Parallèlement à son activité de peintre, il mène deux autres carrières : l'une d'enseignant, d'abord à l'Académie de la Grande Chaumière (1961) puis dans différentes écoles comme l'École des Beaux-Arts de Nancy, à Marseille (1965), à Limoges et Dijon[3]. Il est également chargé de cours à l'université Paris IV-Sorbonne (1972-84), et assistant auprès de l’Inspection générale des enseignements artistiques (à partir de 1974). Son autre carrière étant celle d'historien et écrivain d'art ; il rédige des articles pour la version en français, des Éditions Gründ, du dictionnaire des peintres Bénézit (Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays) dont il dirigera les deux dernières rééditions, la dernière édition étant sortie en quatorze volumes en 1999[4],[5]. Jacques Busse a également publié un ouvrage théorique sur l'impressionnisme, traduit de l'allemand des poèmes de Christian Morgenstern et produit un petit livre d’humour.
Les œuvres de Jacques Busses comprennent des mosaïques, des vitraux, des illustrations et des peintures.
Peintre non figuratif, sa peinture traduit par ses rythmes et ses géométries un élan lyrique[5] ; l'œuvre de Jacques Busse qui s'étend de 1945 à 2003 s'articule en une quinzaine de périodes de styles différents allant de recherches optiques, au néo-cubisme, de l'expressionnisme abstrait au constructivisme, allant parfois dans ses dessins vers l'hyper-réalisme. Comme il l'a lui-même déclaré :
« J'ai préféré l'intérêt et le plaisir de voyager à l'intérieur de la peinture, à l'obligation qu'exige le marché de l'art de s'en tenir à la répétition d'une seule et même manière de peindre identifiable[4]. »
Jacques Busse a traduit l'écrivain allemand Christian Morgenstern, notamment l'intégralité des poésies du recueil Les Chansons du Gibet.