Dans cet article, nous allons approfondir Jacques Chanoine et explorer toutes les facettes de ce sujet. De son histoire et de son évolution à son impact sur la société actuelle, nous couvrirons tous les aspects pertinents et fournirons des informations détaillées afin que nos lecteurs puissent pleinement comprendre Jacques Chanoine. Nous analyserons comment Jacques Chanoine a influencé différents domaines, du scientifique au culturel, et nous examinerons sa pertinence dans le contexte contemporain. De plus, nous explorerons également les implications futures possibles de Jacques Chanoine et comment il pourrait continuer à transformer le monde dans les années à venir.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nom officiel |
Marie Jacques Henri Chanoine |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Militaire, soldat |
Période d'activité |
À partir de |
Père | |
Fratrie | |
Parentèle |
Charles Auguste Frossard (ancêtre) |
Arme | |
---|---|
Grades militaires | |
Conflits | |
Distinctions | Liste détaillée Croix militaire () Chevalier de la Légion d'honneur () Médaille coloniale () Officier de la Légion d'honneur () Commandeur de la Légion d'honneur () Médaille interalliée 1914-1918 Médaille commémorative de Syrie-Cilicie Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs Médaille commémorative de la guerre 1914-1918 Croix de guerre 1939-1945 Croix de guerre 1914-1918 Chevalier de 2e classe de l'ordre du Nichan Iftikhar |
Archives conservées par |
Service historique de la Défense (GR 13 YD 550)[1] |
Marie Jacques Henri Chanoine est un officier de cavalerie français né le à Tours, général de brigade mort pour la France le 14 janvier 1944 à Grenoble.
Né à Tours le , mort à l'hôpital militaire de Grenoble le , il est le fils du général Jules Chanoine et de Marguerite Frossard, le frère du capitaine Julien Chanoine et le petit neveu de l'ingénieur Jacques Henri Chanoine.
Il est également le petit-fils du général Charles Auguste Frossard, gouverneur du prince impérial (fils de l'empereur Napoléon III). Il est issu de la famille fondatrice de la maison de champagne Chanoine Frères.
Le , il épouse à Paris 7e Gabrielle Saint-René-Taillandier, fille d'Henri Saint-René-Taillandier, sous-préfet, chevalier de la Légion d'honneur et petite-fille de l'académicien Saint-René Taillandier. Par son mariage, il est donc apparenté à Camille Mayran et Andrée Putman.
Le général Chanoine est enterré au cimetière de Saint-Étienne-du-Grès.
Il est un élève de l'École Spéciale Militaire de Saint-Cyr, promotion 1901-1903[2].
Il participe à différentes conflits majeurs du XXe siècle tels que la Première Guerre mondiale (1914-1918), la guerre franco-syrienne (1921-1923), la Seconde Guerre mondiale (1939-1940). Il effectue également plusieurs opérations en Algérie (en et entre 1925 et 1933), au Maroc (de juillet à ).
En 1940, il commande la 5e division légère de cavalerie et prend part à la bataille d'Abbeville. Encerclé par la Wehrmacht à Saint-Valery-en-Caux (Seine-Inférieure), les Allemands lui rendent son sabre lors de sa reddition ().
Prisonnier de guerre en Allemagne, il est rapatrié sanitaire le et décède des suites de maladies contractées en captivité à l'hôpital militaire de La Tronche à Grenoble.
Décorations françaises[réf. nécessaire] :
Décorations et ordres étrangers[réf. nécessaire] :