Dans l'article suivant, nous allons plonger dans le monde passionnant de Jacques Robichez, en explorant ses aspects les plus pertinents et ses implications dans la société moderne. De son émergence à ses effets au niveau individuel et collectif, nous embarquerons dans un voyage de découverte et de réflexion qui nous permettra de mieux comprendre Jacques Robichez et son impact sur notre quotidien. À travers une analyse approfondie et des études de cas, nous chercherons à mettre en lumière les aspects moins connus de Jacques Robichez et sa pertinence dans le monde contemporain. Rejoignez-nous dans ce voyage de connaissance et de découverte, où nous espérons ouvrir des perspectives et générer des réflexions autour de Jacques Robichez.
Président Conseil scientifique du Front national (d) | |
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Hugues Petit (d) | |
Directeur Cours de civilisation française de la Sorbonne | |
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Naissance | |
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Décès | |
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Formation |
Faculté des lettres de Paris (doctorat) (jusqu'en ) |
Activité |
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Parti politique | |
Membre de |
Conseil scientifique du Front national (d) Union nationale inter-universitaire |
Distinction |
Jacques Gérard Eugène Louis Alfred Léon Robichez, né le à La Madeleine et mort le dans le 14e arrondissement de Paris[1], est un spécialiste de la littérature et du théâtre, un romaniste et un professeur d’université français.
Après avoir fréquenté une école catholique à Marcq-en-Barœul (1921-1931), le lycée Henri IV à Paris (1931-1934), le lycée Faidherbe à Lille et l'Université de Lille, il devint agrégé des Lettres en 1937. Prisonnier de guerre (1940-1945), il fut décoré de la Croix de guerre pour sa conduite au front.
De 1951 à 1953, il enseigna au Lycée Hoche de Versailles, puis en 1957, il passa son doctorat avec une thèse sur Aurélien Lugné-Poe et devint professeur de littérature française d'abord à l'Université de Lille, puis de 1965 à 1984 à la Sorbonne. De 1979 à 1988, il dirigea également à la Sorbonne le cours de civilisation française pour les étrangers. Il fut président du Conseil scientifique du Front national et chevalier de la Légion d'honneur.
L’Académie française lui décerne le prix Jules-Favre en 1969 pour l'Édition des œuvres poétiques de Verlaine.