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Activité principale |
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Langue d’écriture | moyen néerlandais |
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Mouvement | littérature moyen-néerlandaise |
Genres |
Jan Knibbe, actif à Bruxelles à la fin du XIVe siècle, est un poète en langue moyen-néerlandaise.
Ce poète, dont on peut retracer l'origine par le biais de ses poèmes[1], a composé habilement deux lamentations rehaussées d'allégories héraldiques : l'une sur la mort du comte de Flandre, Louis de Male, survenue le , l'autre sur celle du duc de Brabant, Venceslas Ier de Luxembourg, survenue le [2]. On ignore si ces poèmes à la fois funèbres et héraldiques lui avaient été commandés et, le cas échéant, s'il les a composés pour le compte de la ville ou pour celui des autorités brabançonnes.
Dans ces poèmes héraldiques, dont la structure est abab bcbc, le libaert de Flandre[3] et le lion de Brabant se lamentent, tandis que des figures allégoriques de femmes, représentant la justice, la bonne foi, la patience et le deuil sincère posent des actes réconfortants. Ce genre de poésie d'apparat est peu représenté dans la littérature moyen-néerlandaise. Hofdijk désigne leur auteur comme le poète élégiaque des princes[4].
Deux poèmes funèbres, notés dans le manuscrit Van Hulthem (vers 1410) :