Dans cet article, nous plongerons dans le monde fascinant de Jean-Robert Viallet, en explorant ses origines, son évolution et sa pertinence dans la société actuelle. Depuis ses premières apparitions jusqu'à son impact aujourd'hui, Jean-Robert Viallet a joué un rôle fondamental dans divers aspects de la vie quotidienne des gens. Au fil des prochaines lignes, nous analyserons en profondeur les différents angles sous lesquels on peut aborder Jean-Robert Viallet, dans le but de mettre en lumière son importance et son influence sur la société. Rejoignez-nous dans ce voyage pour découvrir tout ce que vous devez savoir sur Jean-Robert Viallet.
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Jean-Robert Viallet, né en 1970, est un journaliste français, auteur et réalisateur de documentaires, lauréat du prix Albert Londres pour sa trilogie La Mise à mort du travail.
Ses films traitent des dérives du capitalisme sur la société et l'environnement, des zones grises des pouvoirs et des oubliés de l’économie globale.
Jean-Robert Viallet fait toute sa scolarité à Versailles, en passant par l’école Richard Mique, le collège Victor Bart et le lycée Jules Ferry[1].
Jean-Robert Viallet commence sa carrière à la caméra en travaillant pour d’autres réalisateurs tels que Tony Gatlif (cadreur sur Swing), Michael Winterbottom, Lars von Trier (assistant sur Dancer in the Dark). Il œuvre également auprès de Patrick Barbéris qui l’éveille au documentaire, sur Combattre pour l'Indochine et France Vietnam, l’impossible accord, sortis en 2004[2],[3].
En 2005, il coécrit et coréalise son premier film avec Mathieu Verboud Les Enfants perdus de Tranquility Bay sur les camps de redressement pour adolescents aux États-Unis[4]. Le film reçoit le prix Michel-Mitrani du Festival international des programmes audiovisuels de Biarritz (Fipa). Les deux hommes enquêtent ensuite sur le trafic d'armes international et réalisent Une femme à abattre qui est salué en 2007 par le prix de l’Investigation du Festival international du grand reportage d'actualité et du documentaire de société (Figra[5]).
En 2006, Christophe Nick, son producteur avec Yami 2 qui vient de lancer Chroniques de la violence ordinaire et Écoles en France, deux projets d’immersion sur ce qu’il appelle les « zones de fractures de la société contemporaine », lui propose de s’attaquer au monde du travail[6]. Jean-Robert Viallet accepte et s’immerge pendant deux ans dans les entreprises. En sort la triloge La Mise à mort du travail pour laquelle il recevra le prix Albert Londres en 2010 et plusieurs récompenses. La société Carglass le poursuit en diffamation pour le volet Aliénation qui lui est consacré mais est déboutée de toutes ses demandes[7].
Il réalise en 2010 Le temps de cerveau disponible sur l'évolution du divertissement et de la Télé-réalité, Christophe Nick qui lui propose ensuite de s’intéresser à l’affaire Clearstream. Jean-Robert Viallet en sort une série de six films d’une heure chacun, Manipulations, une histoire française. Il s'appuie pour cela sur une longue enquête des journalistes Pierre Péan et Vanessa Ratignier[8].
Festival international de programmes audiovisuels (Fipa)