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Ministre de l'Administration du territoire Gouvernement Sarandji II | |
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Ministre de l'Intérieur Gouvernement Sarandji I | |
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Ministre de la Jeunesse, des Sports, des Arts et de la Culture Gouvernement Touadéra 3 | |
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Député 4e législature de l'Assemblée nationale de la République centrafricaine (d) | |
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Naissance | |
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Fratrie |
Georges Bokassa (d) Jean-Bedel Bokassa II |
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Jean-Barthélemy Bokassa (neveu) Catherine Denguiadé (belle-mère) |
Jean-Serge Bokassa, né le à Bangui, est un homme politique centrafricain.
C'est le quinzième enfant de Jean-Bédel Bokassa[1] qui dirige la Centrafrique de 1966 à 1979[2].
Il s'engage en politique en 2003 et devient député de Mbaïki, puis ministre de la Jeunesse et des Sports de 2011 à 2013[1].
Il n'est engagé dans aucun parti mais soutient le Kwa Na Kwa de Bozizé avant la chute de ce dernier. Bien qu'il mette en avant une « aversion pour la violence », il défend le principe des actions des anti-balakas durant la troisième guerre civile centrafricaine de 2013 : « Le fait que les musulmans soient une minorité leur donne-t-il le droit de tuer si massivement ? »[1].
Il se présente à l'élection présidentielle centrafricaine de 2015 en tant que candidat indépendant. Il obtient 6,56 % des suffrages[3]. Il soutient alors Faustin Touadéra pour le second tour[4]. Le , il est nommé ministre de l’Intérieur, de la sécurité publique et de l’administration du Territoire du Gouvernement Sarandji[5]. Il est limogé le . Son désaccord avec Touadéra vient en partie de l’installation d'instructeurs russes dans l'ancien palais de son père[6],[7].
À l'élection présidentielle de 2020, il arrive en huitième position avec seulement 1,40 % des voix, derrière le président sortant, réélu dès le premier tour[8].