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Jean Debourges | |
Fonctions | |
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Député de la Creuse | |
– (3 ans, 1 mois et 21 jours) |
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Gouvernement | Convention nationale |
Député au Conseil des anciens | |
– (2 ans, 7 mois et 5 jours) |
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Député à la Chambre des Cent-Jours | |
– (2 mois et 3 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Boussac, France |
Date de décès | (à 78 ans) |
Lieu de décès | Boussac, France |
Nationalité | ![]() |
Parti politique | Modérés |
Profession | Avocat Magistrat |
députés de la Creuse | |
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Jean Debourges, né le à Boussac (Creuse), mort le , est un homme politique français.
Avocat dans son pays natal lors du déclenchement de la Révolution, il est juge au tribunal de district et président de l'administration de la Creuse, puis député de ce département à la Convention nationale le .
Siégeant parmi les modérés, il vote en faveur de l'appel au peuple et ne se prononce pas sur la peine à infliger lors du procès de Louis XVI. Hostile aux pétitionnaires du faubourg Saint-Antoine le , il s'oppose à la fixation d'un maximum sur les denrées de première nécessité. Membre du comité des travaux publics, il se tient à l'écart du débat politique sous la Terreur, avant de s'engager en faveur de la réaction thermidorienne.
Élu député de la Creuse au Conseil des Anciens le 23 vendémiaire an IV, il vote en faveur du droit de radiation des émigrés par le Directoire et contre l'impression du discours de Portalis, qui voulait accorder ce droit aux Conseils. Auteur de divers rapports, il est élu secrétaire de l'assemblée le 1er frimaire an V (), avant de quitter le Conseil en l'an VI ().
Après le coup d'État du 18 brumaire, il est nommé président du tribunal de Chambon-sur-Voueize le 18 floréal an VIII, fonctions qu'il occupe jusqu'à son élection à la Chambre des députés par l'arrondissement de Boussac, le , pendant les Cent-Jours.
Il abandonne la vie publique lors de la Seconde Restauration.