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Jean Lacrampe | |
Fonctions | |
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Député des Hautes-Pyrénées | |
– (3 ans, 1 mois et 21 jours) |
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Gouvernement | Convention nationale |
Député au Conseil des Cinq-Cents | |
– (4 ans, 2 mois et 12 jours) |
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Député au Corps législatif | |
– (3 ans et 18 jours) |
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Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Argelès-Gazost (Hautes-Pyrénées) |
Date de décès | (à 45 ans) |
Lieu de décès | Ancien 10e arrondissement de Paris |
Nationalité | ![]() |
Parti politique | Gauche |
Profession | Homme de loi |
députés des Hautes-Pyrénées | |
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Jean Lacrampe, né le à Argelès-Gazost[1] et mort le 22 nivôse an XI (12 janvier 1803[2]) à Paris, est un homme politique de la Révolution française.
Son père est docteur en médecine. En 1791, il épouse Jeanne-Eulalie Dintrans[3], cousine éloignée de Bertrand Barère.
Lacrampe est élu député, le sixième et dernier, du département des Hautes-Pyrénées à la Convention nationale en septembre 1792. Il siège dans les rangs de la Plaine. Il est élu suppléant du Comité d'Examen des comptes[4], suppléant du Comité des Finances[5] et suppléant du Comité de Sûreté générale[6]. Au procès de Louis XVI, il vote la mort avec appel au peuple. Il vote en faveur de la mise en accusation de Marat[7] mais il est absent au rétablissement de la Commission des Douze[8].
Il passe au Conseil des Cinq-Cents le 22 vendémiaire an IV. Favorable au coup d'État du 18 Brumaire, il siège au Corps législatif jusqu'à son décès en 1803.