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Jean Vilain | |
Fonctions | |
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Député français | |
– 15 ans et 11 jours |
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Élection | 8 février 1871 |
Réélection | 20 février 1876 14 octobre 1877 21 août 1881 18 octobre 1885 |
Circonscription | Aisne (1871-1876) 1re de Saint-Quentin (1876-1885) Aisne (1885-1886) |
Législature | Ire, IIe, IIIe et IVe (Troisième République) |
Groupe politique | GR (1871-1881) UR (1881-1886) |
Successeur | Gabriel Hanotaux |
Biographie | |
Nom de naissance | Jean, Louis, Henri Villain |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Le Catelet (Aisne) |
Date de décès | (à 66 ans) |
Lieu de décès | Gouy (Aisne) |
Nationalité | Français |
Profession | Notaire puis industriel |
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Jean, Louis, Henri Villain, né au Catelet le et mort à Gouy, le est un homme politique français.
D'abord notaire[1], Henri Villain s'établit jeune comme raffineur de sucre à Mont-Saint-Martin et acquiert rapidement une fortune considérable[2].
Il siège au conseil général de l'Aisne de 1848 à 1870[1].
Il est élu député de l'Aisne le , 8e sur 11, et siège sur les bancs de la Gauche républicaine. Il est rapporteur de la commission des sucres, et se prononce contre la paix, contre l'abrogation des lois d'exil, contre la pétition des évêques, contre la démission de Thiers, contre le septennat, contre le ministère de Broglie, pour l'amendement Wallon, pour les lois constitutionnelles[2].
Réélu le , il refuse sa confiance au gouvernement de Broglie après le 16 mai. Il est reconduit par ses électeurs le et le . Il change alors de groupe pour l'UR, plus à gauche. Il est rapporteur en de la proposition de M. E. Robert sur les sucres. Soucieux de la condition ouvrière, il est l'auteur avec Martin Nadaud d'une proposition de loi pour réduire des heures de travail, rejetée en 1881 par ses pairs comme « attentatoire à la liberté du travail. »[2]
Il échoue au Sénat le , mais est réélu, le . Il siège au sein du groupe de l'Union républicaine[1].