Dans cet article, le sujet de Jules Brun sera abordé selon une approche multidisciplinaire, dans le but de fournir une vision large et complète de ce sujet. Différentes perspectives et études récentes seront analysées pour offrir au lecteur une compréhension approfondie et à jour de Jules Brun. En outre, les implications possibles et les applications pratiques de ce sujet dans divers domaines seront explorées, afin de souligner sa pertinence dans la société contemporaine. A travers cet article, nous cherchons à générer réflexion et débat autour de Jules Brun, contribuant ainsi à l'enrichissement des connaissances et à la promotion de la pensée critique.
Jules Brun | |
Fonctions | |
---|---|
Conseiller communal de Lausanne | |
– (12 ans) |
|
– (12 ans) |
|
Conseiller municipal de Lausanne | |
– (1 an) |
|
Député au Grand Conseil vaudois | |
– (22 ans) |
|
Conseiller aux États | |
– (5 mois et 5 jours) |
|
Conseiller national | |
– (1 an, 4 mois et 28 jours) |
|
Conseiller d'État vaudois | |
– | |
Biographie | |
Nom de naissance | Jean-Samuel-Jules Brun |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Lausanne |
Date de décès | (à 66 ans) |
Lieu de décès | Lausanne |
Nationalité | ![]() |
Parti politique | Parti radical-démocratique, puis Parti libéral |
Profession | Banquier |
Religion | Protestant |
modifier ![]() |
Jules Brun, né Jean-Samuel-Jules Brun le à Lausanne et mort le à Lausanne, est un banquier et une personnalité politique suisse[1].
De confession protestante, originaire d'Oulens-sous-Échallens, Jules Brun est le fils de Charles Brun. Il reste célibataire. D'abord employé de bureau, il entre à la Banque Marcel avant de s'établir à son compte comme banquier en 1865. Il fait partie des promoteurs, en 1870, du chemin de fer de la Broye[1].
Jules Brun commence sa carrière politique en tant que membre du Parti radical-démocratique. Il est Conseiller communal de Lausanne de 1870 à 1882. Il est réélu au Conseil communal de 1886 à 1898, cette fois comme membre du Parti libéral. Conseiller municipal de Lausanne entre 1871 et 1872, il refuse en 1882 le poste de syndic de la ville. Il est député au Grand Conseil vaudois de 1871 à 1893. Il est en parallèle Conseiller aux États du au , Conseiller national du au , membre en 1884 de l'assemblée constituante nommée pour réviser la Constitution vaudoise de 1861 et Conseiller d'État radical dès le ; il y dirige le département des finances jusqu'en [1],[2],[3].