Jules Godefroid

Dans cet article, nous aborderons Jules Godefroid, un sujet qui a retenu l'attention et l'intérêt de personnes de divers domaines et profils. Jules Godefroid est un sujet largement débattu qui a donné lieu à des opinions contradictoires, générant un large éventail d'analyses, de discussions et de réflexions. Depuis sa création, Jules Godefroid a fait l'objet d'études, de recherches et de spéculations, suscitant curiosité et inquiétude chez ceux qui cherchent à comprendre, approfondir et comprendre ses implications et conséquences. Au fil des années, Jules Godefroid a évolué et s'est positionné comme un sujet pertinent dans divers contextes, couvrant des aspects sociaux, politiques, économiques, scientifiques et culturels. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives, approches et débats liés à Jules Godefroid, dans le but d'offrir une vision complète et enrichissante de ce sujet passionnant.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Godefroid.

Jules Godefroid
Description de cette image, également commentée ci-après
Jules Godefroid dessiné d'après nature par Charles Baugniet.
Nom de naissance Jules-Joseph Godefroid
Naissance
Namur
Décès (à 29 ans)
Ancien 2e arrondissement de Paris
Activité principale Harpiste
Style Musique classique
Activités annexes Compositeur, professeur de harpe
Formation Conservatoire de Paris
Maîtres François-Joseph Naderman
Famille Félix Godefroid (frère)

modifier

Jules Godefroid est un harpiste et compositeur né le à Namur et mort le à Paris.

Biographie

Jules-Joseph Godefroid naît le à Namur[1],[2].

En 1824, sa famille s'installe à Boulogne-sur-Mer, où son père fonde une école de musique[1].

En 1826, Jules Godefroid entre au Conservatoire de Paris, où il est élève en harpe de François-Joseph Naderman et travaille la composition avec Lesueur. Il obtient un 2e prix de harpe en 1828, quitte le conservatoire l'année suivante et retourne alors à Boulogne pour enseigner son instrument[1],[3].

Comme compositeur, il est d'abord l'auteur de diverses mélodies et de morceaux pour harpe, dont plusieurs sont teintés de l'exotisme hispanique très en vogue en son temps[1].

Jules Godefroid fait représenter à Paris un opéra-comique, Le Diadesté, créé à l'Opéra-Comique le . L'année suivante, il fait une tournée en Belgique, puis, de retour en France, compose un opéra historique mettant en scène François Ier, La Chasse royale (créé au théâtre de la Renaissance le ), qui ne connaît guère le succès[1].

Très atteint par cet échec à la scène, Godefroid meurt peu de temps après, le à Paris[1],[3].

Références

  1. ↑ a b c d e et f Fauquet 2003, p. 520.
  2. ↑ François-Joseph Fétis, Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique, t. 4, Paris, Firmin-Didot, , 2e éd. (lire en ligne), p. 42-43.
  3. ↑ a et b Constant Pierre, Le Conservatoire national de musique et de déclamation, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 765.

Bibliographie

Liens externes