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Naissance | |
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Décès | |
Sépulture |
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Dupré (d) |
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Formation | |
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Conjoint |
Marie Laugée (d) |
Enfant |
Maîtres | |
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Genres artistiques | |
Distinction |
Julien Dupré est un peintre français né le [1] à Paris et mort dans la même ville le .
Julien Dupré étudie à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Isidore Pils (1813-1875) et celui d'Henri Lehmann[2],[3]. Il étudie aussi avec Désiré François Laugée, dont il épousera la fille, Marie Laugée.
Peintre naturaliste, dans l'héritage de Jean-François Millet et de Jules Breton qu'il admire, il observe et peint la vie des paysans, jouant sur la lumière. Il donne du relief à sa peinture, accentuant les effets pour donner de la force à ses œuvres et commence à exposer au Salon des artistes français dès 1876 avec la toile La Moisson en Picardie[3].
Il quitte souvent l'atelier (qu'il partage avec son beau-frère le peintre Georges Laugée) situé au no 20 boulevard Flandrin à Paris pour peindre la nature sur le motif à la campagne. Il peint tout d'abord des scènes de moisson, en Picardie particulièrement[4], puis, à partir de 1880, des animaux observés dans la campagne[5].
En 1881, sa toile Les Foins lui vaut une médaille de 2e classe au Salon des artistes français[3]. Très reconnu aux États-Unis, de nombreuses œuvres de Julien Dupré sont conservées dans les musées américains. Il expose au Salon des artistes français régulièrement jusqu'à sa mort, devient membre du Comité du Jury en 1890[3] et reçoit une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 à Paris, puis est décoré de la Légion d'honneur en 1892[3].
Julien Dupré meurt le en son domicile et atelier au no 20 Boulevard Flandrin dans le 16e arrondissement de Paris[6], et, est inhumé au Cimetière du Père-Lachaise (60e division)[7].