Dans l'article d'aujourd'hui, nous souhaitons aborder le sujet de Kathleen Turner, un sujet qui a eu un grand impact sur la société actuelle. Kathleen Turner est un problème qui touche des personnes de tous âges, sexes et cultures, il est donc important de l'analyser sous différents angles. Tout au long de cet article, nous explorerons les origines de Kathleen Turner, son évolution au fil du temps et son influence sur divers aspects de la vie quotidienne. De plus, nous examinerons des solutions ou des approches possibles pour résoudre efficacement ce problème. Nous espérons que cet article suscitera réflexion et débat parmi nos lecteurs, et fournira des informations précieuses sur Kathleen Turner.
Nom de naissance | Mary Kathleen Turner |
---|---|
Naissance |
Springfield (États-Unis) |
Nationalité | Américaine |
Profession | Actrice |
Kathleen Turner est une actrice américaine, née le à Springfield (Missouri).
Elle est une des actrices majeures des années 1980 avant de voir sa carrière marquer le pas au cours des années suivantes, du fait notamment de sa maladie, une polyarthrite rhumatoïde[1].
Fille d'un diplomate et d'une enseignante, elle vit une enfance d'expatriée au fil des mutations de son père au Canada, Venezuela, à Cuba et en Angleterre. Ancienne gymnaste, diplômée de l'université du Maryland, elle commence sa carrière avec un rôle dans le soap opera The Doctors à la fin des années 1970.
En 1981, son premier rôle au cinéma lui apporte une célébrité immédiate : Matty Walker, la séductrice rusée et irrésistible de La Fièvre au corps illustre sa capacité à incarner les femmes fatales. Elle enchaîne avec des rôles de comédies où elle triomphe également : L'Homme aux deux cerveaux (1983) et surtout À la poursuite du diamant vert (1984) qui lui apporte son premier succès public et sa première récompense d'actrice : un Golden Globe. Elle poursuit avec d'autres succès qui lui permettent de rencontrer de prestigieux réalisateurs : L'Honneur des Prizzi de John Huston (qui lui vaut un nouveau Golden Globe), Peggy Sue s'est mariée de Francis Ford Coppola. La Guerre des Rose (1989) la voit retrouver Michael Douglas. Elle prête sa voix grave et sensuelle au personnage de Jessica Rabbit dans Qui veut la peau de Roger Rabbit.
Après cette décennie de succès, elle ne retrouve ensuite plus de rôle cinématographique de cet acabit. Ses problèmes de santé, causés par une polyarthrite rhumatoïde[2], les traitements qu'elle doit subir et la prise de poids qui en découle l'expliquent sans doute en partie. Elle marque tout de même le public grâce à des rôles où elle n'hésite pas à ridiculiser le glamour : elle est la Serial Mother, de John Waters, et Mme Lisbon dans Virgin Suicides de Sofia Coppola.
Elle incarne Charles Bing, le père transgenre de Chandler dans la série Friends en 2001 pour trois épisodes.
En 2009, elle incarne Sue Collini dans la série Californication, pour dix épisodes.
En 2012, elle est à l'affiche du film The Perfect Family au côté d'Emily Deschanel. En 2014, elle est au cinéma dans la comédie Dumb and Dumber De, aux côtés de Jim Carrey, Jeff Daniels et Laurie Holden.
Depuis 1990, c'est au théâtre qu'elle obtient le plus de reconnaissance : à Broadway où elle reprend avec succès le rôle de Maggie dans La Chatte sur un toit brûlant (une nomination au Tony Awards). En 2000, à Londres, elle reprend le rôle de Mme Robinson dans l'adaptation théâtrale du Lauréat. En 2005, elle est choisie par le dramaturge Edward Albee pour incarner Martha dans la nouvelle production new-yorkaise de Qui a peur de Virginia Woolf ?. C'est à nouveau un grand succès tant de la part du public que de celui de la critique[3].
En 1986, le chanteur autrichien Falco lui rend hommage dans la chanson The Kiss of Kathleen Turner.
En 2004, elle fait partie du jury[4] du Festival de Cannes 2004, sous la présidence de Quentin Tarantino.
En 2013, elle reçoit, lors du Festival des films du monde (FFM) de Montréal, le grand prix spécial des Amériques, soulignant l'ensemble de sa carrière. Lors d'une conférence de presse avec les médias montréalais précédant la remise de ce prix, elle déclare : « J'y ai réfléchi et je crois que je suis assez vieille pour avoir droit à cet honneur. »
|
|