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Kei Hata 畑恵 | |
![]() Kei Hata en 2015. | |
Fonctions | |
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Conseillère du Japon | |
– (6 ans et 6 jours) |
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Élection | 23 juillet 1995 (en) |
Circonscription | Circonscription proportionnelle |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Tokyo, Japon |
Nationalité | Japonaise |
Parti politique | Shinshintō Parti libéral-démocrate |
Diplômée de | Université Waseda Université pour femmes d'Ochanomizu |
Site web | Site personnel de Kei Hata |
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Kei Hata (畑恵, Hata Kei ), née le , est une femme politique japonaise, représentant la circonscription proportionnelle pour le Shinshintō puis pour le Parti libéral-démocrate à la Chambre des conseillers du Japon de 1995 à 2001.
À la suite d'un scandale d'adultère, elle met fin à sa carrière politique et se consacre à une carrière académique.
Hata naît le à Tokyo[1]. Elle effectue ses études supérieures à la faculté de lettres de l'université Waseda, avant de rejoindre la NHK en 1984 en tant que présentatrice[1]. Elle participe également à l'émission phare de TV Asahi : Sunday Project (ja)[2].
En 1992, elle poursuit son cursus universitaire en France, où elle complète son parcours à l'ESMC en politique et gestion culturelle, ainsi qu'à l'école du Louvre en histoire de l'art[2].
Après sa carrière médiatique, Hata commence une carrière politique en en 1994, lors de la création du parti Shinshintō[3]. Elle se présente aux élections à la Chambre des conseillers du Japon de 1995 (en), sous l'investiture de ce dernier[4],[5]. Élue à l'issue de ce scrutin, elle fait son entrée à la Diète du Japon[2]. Elle rejoint par la suite le Parti libéral-démocrate[4],[6].
Sa réputation est néanmoins entachée par un scandale d'adultère, et elle ne parvient pas à être réélue en 2001, alors qu'elle est candidate dans la circonscription électorale de Tokyo, cette fois en tant qu'indépendante[6],[7],[8].
Après sa carrière politique, Hata devient vice-présidente en 2001 de la société éducative Sakushin (ja) à Utsunomiya, puis présidente en 2013[5],[7], en collaboration avec Shinya Yamanaka, prix Nobel de médecine japonais[1]. En parallèle, elle reprend en 2001 ses études et commence un doctorat en sciences politiques[2]. Elle ouvre également en 2003 une galerie d'art[2].
Hata devient également chroniqueuse et commentatrice d'actualités politique sur différents sites et journaux[9].
Durant son mandat de parlementaire, Hata s'est spécialisée dans les questions liées à la coopération internationale et sur les révolutions technologiques[4].
Kei Hata épouse Hajime Funada (en) en 1999, qu'elle rencontre en 1994 lors de la fondation du parti Shinshintō[3]. Elle débute une relation adultérine avec lui, Funada étant marié et père d'un enfant en bas âge[3]. Après que leur relation a été révélée dans la presse japonaise en 1996, Funada divorce, et épouse Hata[5]. Cet épisode entache la réputation des deux politiques, qui perdent leurs deux élections respectives suivant la révélation du scandale[5].