Le thème de La Gauche ensemble est un thème présent tout au long de l’histoire de l’humanité. Depuis l’Antiquité, La Gauche ensemble est une source d’étude, de discussion et de réflexion. Son importance transcende les barrières culturelles, générationnelles et géographiques, couvrant des aspects aussi divers que la philosophie, la science, la politique, l'art et la vie quotidienne. Au fil des siècles, La Gauche ensemble a fait l'objet de multiples interprétations et a acquis des significations différentes selon le contexte dans lequel il s'inscrit. Dans cet article, nous plongerons dans l’univers fascinant de La Gauche ensemble, en explorant ses différentes facettes et sa pertinence aujourd’hui.
Parti ensemble (pl) Partia Razem | |
![]() Logotype officiel. | |
Présentation | |
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Direction | Collective |
Fondation | |
Siège | Varsovie |
Positionnement | Gauche |
Idéologie | Social-démocratie[1] Socialisme démocratique Progressisme |
Coalisé dans | La Gauche |
Affiliation européenne | DiEM25 Alliance de la Gauche Européenne (en) |
Couleurs | |
Site web | partiarazem.pl |
Représentation | |
Députés | 7 / 460 |
Sénateurs | 2 / 100 |
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La Gauche ensemble (en polonais : Lewica Razem) est un parti politique polonais fondé en mai 2015 sous le nom de « Ensemble » (Razem).
Ce parti a été créé par des militants de gauche désireux de constituer une candidature « anti-système » sans les dirigeants de l'Alliance de la gauche démocratique (SLD) pour les élections parlementaires du 25 octobre 2015, particulièrement après la débâcle de la candidate soutenue par ce parti à l'élection présidentielle de mai.
Les fondateurs de Razem jugent alors qu'il n'y a pas de véritable représentant de gauche au sein du Parlement, critiquant notamment la SLD et son président Leszek Miller.
Ces militants étaient parfois nouvellement engagés dans une organisation politique, d'autres issus des Jeunes Socialistes (Młodzi Socjaliści) et des Verts[2]. Le premier bureau est constitué de neuf membres : Aleksandra Cacha, Alicja Czubek, Jakub Danecki, Magdalena Malińska, Mateusz Mirys, Katarzyna Paprota, Piotr Szmielew, Adrian Zandberg et Marcelina Zawisza[3]. Marta Nowak est la porte-parole du parti [4].
Alors que la SLD, Twój Ruch (TR), l'Union du travail (UP), Les Verts (Zieloni) et le Parti socialiste polonais (PPS) fondent la coalition Gauche unie (ZL) sous la houlette de Barbara Nowacka, issue de TR après être passée par l'UP, où elle a côtoyé plusieurs dirigeants de Razem, la nouvelle formation décide de maintenir une candidature autonome.
Avec 3,6 % des suffrages exprimés, Razem échoue à franchir le seuil des 5 % pour accéder à la Diète, tandis que la ZL n’atteint pas le seuil des 8 % imposé aux coalitions. Alors que la gauche réunit plus de 11 % des voix, elle ne fait élire aucun représentant à la chambre basse du Parlement polonais pour la première fois depuis 1989.
Pour les élections européennes du 26 mai 2019, Razem participe à la coalition La Gauche ensemble (pl) avec l'UP et le Mouvement pour la justice sociale (pl) (RSS), tandis que l'opposition de centre gauche, du centre et de centre droit à Droit et justice (PiS) se réunit sous la bannière de la Coalition européenne (pl) (KE). Alors que la KE réunit 38,5 %, la Gauche ensemble recueille à peine 1,2 %.
Le 1er juin suivant, Razem change son nom au profit de celui de sa coalition défaite et devient « La Gauche ensemble »[5].
Le parti s'associe finalement à l'Alliance de la gauche démocratique, ainsi qu'au parti Printemps (Wiosna) au sein d'une coalition informelle baptisée « La Gauche » (Lewica) dans l'optique des élections parlementaires du 13 octobre 2019. Avec 12,6 %, les partis de gauche reviennent à la Diète en remportant 49 sièges, dont six pour La Gauche ensemble.
Le , Nouvelle Gauche (qui succède à l'Alliance de la gauche démocratique et à Wiosna), La Gauche ensemble, le Parti socialiste polonais et l'Union du travail s'accordent pour se présenter unis aux élections parlementaires d'octobre 2023 au sein d'une même liste électorale « Lewica » (La Gauche).
Le parti Razem se dit proche de mouvements européens de gauche alternative, par exemple des Espagnols de Podemos, mais aussi du modèle social scandinave[6].
Son programme prévoit notamment de[7] :
Le parti soutient l'accueil en Pologne de réfugiés de guerre syriens ou venus d'autres pays, quelle que soit leur religion.