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لحسن زينون |
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Lahcen Zinoun, né le à Hay Mohammadi et mort le à Casablanca[1], est un danseur, chorégraphe et réalisateur marocain.
Lahcen Zinoun reçoit le premier prix de danse au conservatoire municipal de Casablanca en 1964. Il se rend ensuite à Bruxelles dans l'espoir de travailler avec Maurice Béjart ; celui-ci lui propose de s'inscrire d'abord au Conservatoire de danse de Bruxelles et de suivre aussi les cours de Sana Dolsky[2].
Danseur étoile[3], il a travaillé avec de très grands chorégraphes[4] : George Skibine, Peter Van Dijk, Jorge Lefebre, André Leclair, Hanna Voos, Jeanne Brabants, Janine Charrat…
Également attiré par le 7e art[5], Lahcen Zinoun travaille comme chorégraphe sur de nombreux films : La Dernière Tentation du Christ de Martin Scorsese, Un thé au Sahara de Bernardo Bertolucci, Les Beaux Jours de Shéhérazade de Mostafa Derkaoui, L'Ombre du pharaon de Souheil Ben Barka, Joseph de Robert Young, Moïse de Roger Young, Les Larmes du regret de Hassan El Moufti, Femme et Femme de Saâd Chraïbi, Titre provisoire de Mostafa Derkaoui, Mona Saber d'Abdelhaï Laraki, Jouhara de Saâd Chraïbi, etc.
En 1978, Lahcen Zinoun crée, avec son épouse Michèle Barette, une école de danse et une compagnie, le Ballet-Théâtre Zinoun, dont sortent de nombreux danseurs parmi lesquels se distinguent leurs deux fils, Jaïs, lauréat du 1er prix de Lausanne en 1988 et soliste au San Francisco Ballet, et Chems-Eddine, danseur au Ballet royal de Flandre à Anvers puis au Ballet du Nord en France.
En 1986, il crée la Troupe nationale des arts traditionnels avec la complicité du ministère de la Culture marocain.
Chorégraphe de renommée internationale, Lahcen Zinoun et son Ballet-Théâtre se produisent tant dans le monde arabe qu’en Occident (du Festival international d'Hammamet) le MASA à Abidjan en 1997, à l'expo-universelle de Lisbonne 1998, à l'année du Maroc en France avec des représentations de Flagrant délire au Café de la danse et à l'Institut du monde arabe à Paris. Tournée aux Pays-Bas à Amsterdam, Rotterdam et Breda.
En 1991, Lahcen Zinoun réalise son premier court métrage pour le spectacle Flagrant délire présenté au Maroc, à Rotterdam et à Breda pour la semaine culturelle du Maroc aux Pays-Bas, et à Paris pour l’année du Maroc en France.
Suivront trois autres courts métrages : Assamt en 2001, Piano en 2002 et Faux Pas en 2003.