Dans le monde d’aujourd’hui, Langres est un sujet qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Grâce à son impact sur la société, la culture et l'économie, Langres est devenu une figure marquante de la vie moderne. De son influence sur les réseaux sociaux à son rôle en politique, Langres s'est avéré être un sujet fascinant et pertinent dans le monde contemporain. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Langres et analyserons son impact sur différents aspects de la vie quotidienne.
Langres a donné son nom à une région traditionnelle qui avait le titre de comté et une coutume particulière à celle de Sens (le Pays de Langres), ainsi qu'à un diocèse dont le titulaire avait depuis le XIIe siècle le titre de duc et pair de France.
Ayant une histoire plusieurs fois millénaire, son site défensif occupé depuis le Néolithique était considéré au XVIIe siècle comme n'ayant jamais été pris : « La ville est dans une assiette renversée si avantageuse et habitée d’un peuple si guerrier qu’elle passe pour la pucelle du pays ». Langres étant restée fidèle à la couronne de France, le roi a octroyé à ses habitants les privilèges de la Noblesse avec le droit de lever une armée pour se défendre et l'exemption de tous les impôts royaux.
Ses habitants sont les Langrois, ceux de l'époque gauloise étant les Lingons.
Géographie
Localisation
Langres est située à une altitude de 458 mètres sur une table calcaire aménagée en oppidum, avec un escarpement abrupt de 50 mètres suivi d'une dénivellation supplémentaire de 50 mètres. Ce promontoire est lui-même situé au nord du plateau de Langres qui sépare le Bassin parisien de la vallée de la Saône, près de la source de la Marne. La ville est implantée au centre du Seuil morvano-vosgien, non loin du « point triple majeur » des lignes de partage des eaux entre les bassins versants de la Seine, du Rhône et de la Meuse.
La région de Langres est appelée le « pays des quatre lacs ». Construites à la fin du XIXe siècle pour alimenter en eaux le canal, ces retenues artificielles proches sont le lac de la Liez, le lac de la Vingeanne, le lac de la Mouche et le lac de Charmes. Le lac de la Liez, le plus grand et visible des remparts, a été aménagé pour la baignade et les loisirs nautiques (pédalos, planche à voile, canoës, ski nautique).
Faubourg des Auges, faubourg des Franchises, faubourg de Brevoines, Saint Sauveur, L'Arbelotte, faubourg de Saint-Gilles, faubourg de Buzon, Ferme de Saint Anne, Ferme du Séminaire, faubourg du Moulin-Rouge, faubourg de Louot, faubourg des 3 rois, faubourg de la collinière, faubourg Saint Didier.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Géologie et relief
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Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le canal de la Marne a la Saone, la Marne, la Conduite Mouche Liez, la Bonnelle, la Liez, le ruisseau de Saint-Maurice, le cours d'eau 01 de Champ Rond, le cours d'eau 01 de Pouvain, le cours d'eau 01 de Varmoy, la Liez, le Julien, le ruisseau de Douet, le ruisseau de la Becheule, le ruisseau de Val, le ruisseau de Vaucourt et divers autres petits cours d'eau,.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 896,1 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,2 °C, atteinte le ,,.
Statistiques 1991-2020 et records LANGRES (52) - alt : 466m, lat : 47°50'37"N, lon : 5°20'15"E Records établis sur la période du 01-01-1949 au 04-01-2024
Au , Langres est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022.
Elle appartient à l'unité urbaine de Langres, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre,,. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Langres, dont elle est la commune-centre,. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants,.
Transports
Le train à crémaillère (1887-1971) : le chemin de fer à crémaillère de Langres fut la première ligne de chemin de fer à crémaillère construite en France ; elle avait vocation à desservir la place forte depuis la gare des chemins de fer de l'Est située en contrebas, le long de la Marne ;
La ville de Langres est également desservie par les sorties 6 (Langres-Sud) et 7 (Langres-Nord) de l'autoroute française A31. Entre ces deux sorties, la bifurcation avec l'autoroute française A5 permet un lien direct avec le sud-est de Paris. De plus, la Route nationale 19 relie Langres à Vesoul d'un côté et à Chaumont de l'autre. La D 974 mène en direction de Dijon, tandis que la D 74 permet à l’usager automobile de se diriger vers Contrexéville, Neufchâteau et Épinal.
Le funiculaire ou plus exactement l'ascenseur incliné de Langres (1995) : compte tenu de l'évolution des modes de déplacements et de la surabondance d'automobiles, cet ascenseur incliné a été installé à un autre emplacement sur le rempart en 1995, par la municipalité, pour relier la ville dans ses remparts au parking Sous-Bie en contrebas et permet aux automobilistes de garer leurs véhicules hors les murs mais à proximité du centre. Il est basé sur le même principe que celui de Montmartre à Paris et a été construit par la société Skirail,.
Le port fluvial de Langres est situé sur le canal de la Marne à la Saône, rebaptisé récemment canal entre Champagne et Bourgogne afin de souligner sa vocation touristique de liaison fluviale entre ces deux célèbres provinces. L'ensemble est en cours d'aménagement par le Conseil général afin de favoriser le tourisme fluvial. Ses berges sont destinées à servir de voie de randonnée pédestre, cyclable ou cavalière permettant de joindre de façon continue et agréable la Champagne à la Bourgogne. Le port de Langres va être lui aussi mis en valeur et équipé, en favorisant la communication avec le lac de la Liez qui est contigu.
Langres devient à la Renaissance un important foyer artistique où s'épanouissent la littérature, la peinture, l'architecture, etc. Ceci est notamment favorisé par sa proximité avec la Cour et l'importance de son diocèse. Dès la fin du XVe et le début du XVIe, plusieurs personnalités marquent la ville de Langres : Jean III d'Amboise, son successeur Jean V d'Amboise, Michel Boudet.
Une des grandes figures et un des acteurs de la Renaissance à Langres est le cardinal de Givry. Connu pour son mécénat artistique, il commande en 1543 des tapisseries sur l'histoire de Saint-Mammès pour décorer la nef de la cathédrale de Langres. Huit tentures sont ainsi réalisées en 1544-1545 d'après Jean Cousin et par les lissiers Pierre Blasse et Jacques Langlois. Des huit, trois ont été conservées, une au Louvre et deux à la cathédrale de Langres. Le cardinal de Givry commanda également un magnifique jubé, « en forme d'arc triomphal ». Détruit au cours du XVIIIe siècle, il ne reste que très peu de fragments de ce jubé au musée d'histoire de Langres. Peu de temps après, un autre chantier est en cours à la cathédrale, celui de la chapelle Sainte-Croix, dite chapelle d'Amoncourt du nom de son commanditaire. Débutée en 1549 à la demande de Jean d'Amoncourt, archidiacre de Langres et grand ami du cardinal de Givry, cette chapelle est par son décor un des joyaux de l'architecture Renaissance à Langres. L'ornementation de la voûte à caissons de la chapelle rappelle celle de la galerie François Ier à Fontainebleau. De même, le décor « en miroir » du carrelage, daté de 1551-1552, s'inspire fortement du château d'Écouen. Il est réalisé en faïence émaillée probablement par un atelier rouennais (Geoffroy Du Moustier), ou par Masséot Abaquesne comme le voudrait la tradition. Le dessin, quant à lui, pourrait être de Jean Cousin.
La Renaissance voit notamment se construire de beaux édifices qui subsistent aujourd'hui :
Hôtel de Rose ou d'Amboise, 3 rue des Abbés-Couturier ;
Maison Renaissance, 20 rue Cardinal Morlot ;
Maison dite des Cuirasses, 10 rue St-Didier ;
Hôtel du 3 rue Jean Roussat ;
Hôtel de Piétrequin, 4 rue du Chanoine-Defay ;
Hôtel du Breuil de Saint-Germain, aile est.
L'imprimerie, qui s'y serait installé depuis la fin du XVe siècle, est surtout connue par le biais de l'imprimeur Jean Desprez (Jehan des Prey). C'est chez ce dernier que Jean Tabourot, chanoine à Langres en 1542 (de son anagramme Thoinot Arbeau), imprime en 1589 son traité L'Orchésographie. Joseph Boillot, architecte, ingénieur militaire et occupant successivement plusieurs charges à Langres dont celle de « contrôleur du magasin des poudres et salpêtres », publie en 1592 chez Jean Desprez son célèbre recueil de termes zoomorphes.
Richard Roussat, également chanoine à Langres, imprime son Livre de l'estat et mutation des temps, à Lyon chez Guillaume Rouillé en 1550.
Charles IX rend visite à Langres lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine. Pendant les guerres de Religion, les Langrois, pour la plupart, suivent leur maire, Jean Roussat, qui reste fidèle au roi légitime. Le parti de la Ligue est très virulent dans la région, avec les Guise dont le bastion de Lorraine est proche. Les protestants et les reîtres allemands avec, entre autres, le prince Casimir s'y opposent, et les deux partis ravagent le pays alentour. Une bataille a lieu au pied des murailles de Langres, au faubourg de Brevoines, le , sans résultat décisif. Dans la nuit du 19 au , un pétard est placé sur la porte de la place du Marché pour investir la ville, mais l'alerte est donnée à temps.
Le XVIIe siècle
Au XVIIe siècle, Langres est marquée par l'épiscopat de Sébastien Zamet et par le retour d'une période troublée. En effet, après une relative période de paix, elle subit la guerre de Trente Ans comme d'autres villes en France. La peste frappe de nouveau la ville en 1636.
De 1615 à 1655, Sébastien Zamet est l'évêque de Langres.
La ville compte à cette époque entre 6 000 et 7 000 habitants.
Un artisanat spécialisé se développe dans la ville puis hors les murs vers Nogent, la coutellerie.
Au XIXe siècle, une citadelleà la Vauban vient étendre le domaine fortifié. Au début de la guerre franco-prussienne de 1870, Langres est une place de guerre qui barre la route de Bâle à Paris et qui contrôle le nœud ferroviaire de Chalindrey. Une ceinture de forts détachés est en cours de construction. La défense de la place est confiée au général de cavalerie Arbellot le . Après la capitulation de Metz, le , les Prussiens occupent le Sud de la Lorraine et de la Champagne à l'exception de Langres. Afin de ravitailler les troupes positionnées au Sud de Paris, ils utilisent la voie ferrée Saint-Dizier - Chaumont - Châtillon-sur-Seine. En novembre, la garnison, mal équipée, mal armée, mal chaussée, compte 12 000 hommes dont une moitié seulement est apte à soutenir un combat. Du 16 au 20 novembre, une division allemande teste la défense de la ville, se retire en l'encerclant, néanmoins, à distance convenable et au moment où une épidémie de variole se développe dans la cité. La place n'étant pas assiégée, la garnison harcèle les voies de communications allemandes, attaque les avant-postes et pénètre même au-delà de ceux-ci. Parmi les coups de main, on peut citer :
dans la nuit du 8 au 9 décembre, quatre compagnies du 56e régiment provisoire et une section d'artilleurs entreprennent un coup de main contre la garnison de Châteauvillain ;
le 16 décembre, deux bataillons de mobiles qui effectuent une reconnaissance à Longeau sont contraints de se replier face à une forte colonne allemande.
À partir du , l'ennemi commence un nouvel encerclement de Langres. Le , l'ennemi à totalement quitté ses positions et se dirige vers Vesoul en raison du mouvement des troupes du général Bourbaki. Les coups de main recommencèrent :
dans la nuit du 24 au 25 décembre, un détachement fait dérailler un train près de Bricon ;
dans la nuit du 11 au , des partisans font dérailler un train près de Courban. Pour la 3e fois, les Prussiens réinvestissent Langres à partir du . Les actions ennemies sont agressives et les avant-postes français sont obligés de reculer.
le 28 janvier, le combat de Prauthoy fut le dernier exploit des troupes de la garnison de Langres qui chassèrent les Allemands du village.
En 1884, la ville décide de marquer le centième anniversaire de la mort de Denis Diderot. La place Chambeau est renommée place Diderot et une statue en bronze du philosophe, œuvre de Bartholdi, est érigée en son centre. Cet honneur rendu à un farouche représentant de l'athéisme est l'occasion de nombreuses contestations dans une ville reculée et très conservatrice dont la religion avait fait historiquement la puissance.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le département de la Haute-marne est envahi par les Allemands le , une semaine avant l'Armistice. Édouard Dessein, maire depuis 1932, donne sa démission en 1941, il est remplacé par Charles Béligné qui restera maire après la Libération jusqu'en 1959. Langres reste à l'écart de la guerre, l'occupation allemande est surtout présente à la préfecture de Chaumont dont la gare subit plusieurs bombardements. Le , les troupes débarquées en Provence viennent reprendre possession de la ville.
La ville engage dès 1970 une procédure de création de secteur sauvegardé (délibération municipale du et arrêté ministériel du ). Le plan permanent de sauvegarde et de mise en valeur délimite un périmètre protégé de 68 ha comprenant les remparts et leurs glacis, la ville intra-muros et le faubourg de Sous-murs. En 1972, Langres absorbe la commune de Corlée. A partir de cette date, la commune perd régulièrement des habitants.
Depuis 2000
Depuis 2006, la mise en lumière des principaux monuments permet de créer une atmosphère dès le coucher du soleil.
Dans le cadre de la réforme de la carte judiciaire entreprise par Rachida Dati, la ville de Langres « perd » le tribunal d'instance à compter du , qui avait été installé en 1958. En 2014, le 15e BSMAT est dissout, signant le départ des militaires de la ville, qui avait notamment accueillit le 21e RI.
Politique et administration
Administration municipale
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Liste des maires
Anne Cardinal (UG) est maire de Langres depuis , pour un mandat courant jusqu'en 2026.
La ville de Langres a abrité, de 1958 à 2010, un tribunal d'instance, qui a finalement été supprimé au lors de la réforme de la carte judiciaire au bénéfice de Chaumont.
Sur le plan intercommunal, la ville reçoit le siège de la communauté de communes du Grand Langres.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004.
En 2021, la commune comptait 7 697 habitants, en évolution de −1,14 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Tout comme Saint-Dizier et Chaumont, Langres voit sa population se stabiliser dans les années 1980, puis légèrement baisser à la fin du XXe siècle : la ville a perdu 3 000 habitants en 30 ans et comporte en 2008 moins d'habitants qu'en 1954.
Pyramide des âges
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La ville abrite trois écoles maternelles (Écoles maternelles publiques de : Jean-Duvet, Les Ouches et la Grenouille), cinq écoles élémentaires (Écoles élémentaires publiques de : Jean-Duvet, la Bonelle, Langres Marne, les Ouches et la Grenouille) et une privée (du Sacré-Coeur).
Langres compte les collèges Diderot, Les Franchises et du Sacré-Cœur, ainsi que le lycée polyvalent (général, technologique et professionnel) Diderot. Celui-ci comprend également des sections européennes (anglais, allemand et espagnol), une école d’hôtellerie, des formations professionnalisantes en plasturgie, en cuisine, en commerce et en transports, ainsi que des BTS en plasturgie et en gestion. Les sections professionnelles et technologiques ne se situent pas sur le même site. Le site d'enseignement général est situé au nord de Langres, tandis que le site professionnel est situé à proximité de la zone industrielle des Franchises.
Un centre hospitalier fonctionne à Langres, regroupé avec la clinique privée de La Compassion. L’ensemble comprend des blocs de chirurgie, un service d’urgences, ainsi que plusieurs pôles de santé (gastro-entérologie, infirmerie, cardiologie, kinésithérapie, etc.)
Il existe également un centre médical et hôpital de jour en psychiatrie générale (centre médical Jeanne-Mance), ainsi que le centre Georges-Heuyer de pédopsychiatrie.
Réunis au sein de l’association médicale de la Citadelle, 18 professionnels de santé sont impliqués sur le projet de maison médicale qui se fera dans un bâtiment de la Citadelle, en principe en 2020.
Il existe également l’association « Autisme, un pas vers l’avenir », qui vient en aide aux familles d’enfants autistes sur le Sud haut-marnais.
À l'occasion du tricentenaire de la naissance du philosophe encyclopédiste Denis Diderot, la ville de Langres a organisé diverses célébrations en 2013.
En 2018, Langres célèbre son année Renaissance, avec de nombreuses animations, spectacles, concerts et conférences, ainsi qu’une exposition labellisée d’intérêt national.
Manifestations permanentes
Rencontres philosophiques de Langres : événement académique et thématique portant sur la philosophie, créé en 2011 et organisé par le ministère de l’Éducation nationale dans le cadre du Plan national de formation des enseignants (c’est l’équivalent, pour la philosophie, du Festival international de géographie). Chaque année, environ 200 professeurs de philosophie, venant de toute la France, s’installent ainsi à Langres pour trois jours. De nombreux spectacles, animations et activités culturelles, davantage tournés vers le grand public et coorganisés par la Ville et par le Forum Diderot-Langres, viennent se greffer à l’événement académique. Les Rencontres ont lieu la première semaine du mois d’octobre ;
Foire expo « Langres gastronomique » (depuis 2018) : la « foire expo » de Langres était un événement incontournable de la ville, disparu dans les années 1980. Elle renaît en 2018, sous l’impulsion d’une association créée pour l’occasion, en étant particulièrement tournée vers la gastronomie locale. Elle se tient en juin sur deux (2018) ou trois (2019) jours ;
Ludi’Langres : festival du jeu créé par l’association Res Ludum en 2016. Il se tient en juin, sur trois jours ;
Convention internationale du tatouage (depuis 2018), en février, sur un week-end. Elle prend la suite de l’ancienne convention internationale du tatouage de Dijon, disparue quelques années auparavant. La première édition, en 2018, a rassemblé plus de trois mille personnes ;
Fête de la Citadelle : fête des Quartiers-Neufs de la ville, sur toute une journée, en juin ou en juillet ;
Salon du mariage et du chocolat (depuis 2017) ;
Estival des Hallebardiers : fondé en 1985, il s’agit d’ensemble de trois spectacles, volontiers humoristiques, de théâtre itinérant, destiné à faire découvrir le patrimoine et l’Histoire de Langres. Il est très apprécié des touristes et se tient en juillet et août, les jeudis, vendredis et samedis soir. Le record d’entrées a eu lieu en 2018, avec 4 965 réservations ;
Festival du Chien à plumes : festival musical, organisé par l’association langroise du Chien à plumes, qui a lieu en août, à quelques kilomètres de la ville, au bord du lac de la Vingeanne ;
Tinta’Mars : festival de spectacle vivant, à destination du jeune public et du tous publics, organisé en mars, sur trois semaines, par l’association éponyme ;
Biennale des Lumières : petit festival de philosophie, qui se tient les années paires, en mars, organisé par le Forum Diderot-Langres ;
Estival des concerts d’orgue : ensemble de concerts d’orgue, organisés en la cathédrale Saint-Mammès, par l’association des Amis des orgues ;
Journées des métiers d’art, de la coutellerie et de la cisellerie : elles se tiennent en avril, sur deux jours, et mettent en particulier en valeur la coutellerie, historiquement très présente dans le bassin langrois ;
Ronde des Lingons : rallye de voitures historiques, organisé à Langres et dans les environs par l’association Car 2 Langres, en mai ;
Fête du sport : ensemble de démonstrations des diverses associations sportives de Langres. Elle se tient en septembre ;
Course des remparts : course organisée à l'occasion de la fête du sport comprenant plusieurs courses de diverses distances et catégories ;
Forum des associations : il se tient le premier week-end de septembre (remplace la fête du sport) ;
Festival Vintage rétro (depuis 2018) : festival créé en 2018 sur le thème des objets anciens et rétro ;
Festi’Mardis : festival musical estival, en juillet et août, avec un concert en plein air chaque mardi. Les bénéfices (buvette et restauration) sont reversés aux associations locales qui participent à l’organisation ;
Grande braderie de Langres : organisée par l’Union des commerçants, elle se tient le dernier dimanche de juillet ;
Peintres et sculpteurs dans la rue : concours artistique organisé le dernier week-end d’août par l’Union des commerçants. Les artistes réalisent leur travail dans les rues du centre historique ;
Salon du modélisme Miniaturissimo : salon du modélisme ;
Gala international de catch (depuis 2018).
Anciennes manifestations
Fête du pétard : fête célébrant l’échec de la tentative de prise de Langres, dans la nuit 19 au , par les Ligueurs lorrains. Elle était ainsi appelée car les Hallebardiers de Langres étaient parvenus, lors de cette fameuse nuit, à annihiler la grosse bassine de poudre qui devait faire sauter l’une des entrées de la ville. Le pétard ainsi récupéré a longtemps été gardé en trophée dans la ville. La dernière édition a eu lieu en 2014 ;
Jazz à La Lunette : festival de jazz en plein air, organisé au fort de La Lunette 10, par l’association Mélanges improbables. Il a eu lieu en 2016 et 2017, le premier week-end de juillet, mais n’a pas été reconduit en raison de l’échec de ces deux éditions (plombées par une très mauvaise météorologie), qui a mis en péril, sur le plan financier, l’avenir de l’association organisatrice ;
Tuning show : festival de tuning organisé en août par l’association Irrestible Car 52. Il a lieu, depuis 2018, à Montigny-le-Roi, à la suite d’un conflit entre l’association et la municipalité de Langres.
Médias
RCF Aube (88.2) cat A - Active Radio (91.7) cat A - Magnum La Radio (94.4) cat B - Radio Star (97.4) cat B.
Diversité FM (radio associative d'envergure nationale).
Groupement langrois des associations patriotiques ;
Fnaca.
Économie
Des entreprises fonctionnent dans de nombreux domaines : plasturgie, P.T.F.E. Polytétrafluoroéthylène (Téflon étant une marque déposée), caoutchouc, coutellerie, métallurgie, mécanique, automobile, informatique, imprimerie…
Revenus de la population et fiscalité
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Emploi
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Entreprises et commerces
La commune compte différents cafés, hôtels et restaurants, et de nombreuses entreprises : Freudenberg Freudenberg joints élastomères, Plastic Omnium, 3P (Produits Plastiques Performants), Beligné, Imprimerie de Champagne, Graglia, Horiot père et fils, Chaudières Miquée, FMS, OgerDécoration, Entrin 52, Doras Elce matériaux, Magna, Fontana Top Sol, MGCA, Aluc, Morisot, La Mure, Petit, Dedome, Thirion, Déchetterie, OgerPropreté…
Les remparts de Langres ont été construits sur 2 000 ans. Les fortifications, dont une partie de type bastionné, ont été remaniées par le génie militaire. Elles couvrent 3,6 km, faisant le tour de l’ancienne ville avec ses sept tours fortifiées, ses six portes et la porte gallo-romaine rappelant que Langres fut, au IIe siècle, la capitale du peuple des Lingons. Au XIXe siècle, le système des fortifications de la ville s'est étendu à des forts bâtis à des 10 et 15 kilomètres de la ville, et qu'on peut encore découvrir enfouis dans les forêts (par exemple, du côté de Chauffour).
La citadelle
La place forte de Langres du XIXe siècle est dotée d'une architecture bastionnée construite fin XIXe siècle sous la direction de Auguste Chauchard. Siège de la caserne Turenne.
« de 3 000 à 15 000 hommes en 1870-1871 ». Août- - Camp d'instruction des gardes mobiles et des gardes nationales sous le commandement du général Chauvin. - Général Mayère, gouverneur de la place. - Venant de Selongey et Fontaine-Française, en évitant habilement les colonnes du IIe corps allemand, le colonel Lobbia, avec 1 200 hommes de la 2e brigade, réussit à faire entrer dans la citadelle un convoi de munition. Cette 2e brigade fait partie de l'Armée des Vosges commandée par le général Giuseppe Garibaldi.
Ensemble défensif de 20 mètres de haut et pour un diamètre de 30 mètres, au sud-ouest de la ville, inaugurée par François Ier. La tour Navarre a des murs de 7 mètres d'épaisseur et comprend deux étages. Elle fut couverte dès le XIXe siècle d'une imposante charpente en chêne (visible de l'intérieur) et d'un toit conique. La tour d'Orval loge une rampe tournante afin de desservir la tour Navarre.
Construite sur ordre de Louis XI, elle protégeait le sud-est de la ville. C’est la première tour d’artillerie permettant le tir sur 360°. Elle comporte deux étages de casemates destinées à l'origine à recevoir des couleuvrines, avec soutes à poudre et munitions. Elle fut restaurée en 1842.
Elle fut construite pour protéger les accès Ouest de la ville. Entourée de murs de 8 mètres d'épaisseur, elle est conçue pour recevoir des canons à différents niveaux. Un escalier large de 5 mètres, s'amorce sur un gros pilier central cylindrique soutenant les quatre voûtes sur croisée d'ogives de la première salle.
L'intérieur, en partie comblée, ne présente plus qu'une basse salle voûtée, tandis que la partie supérieure forme un logis de deux étages. Autrefois, la terrasse pouvait recevoir des canons protégeant la ville du côté nord. Elle a été transformée en colombier militaire après la guerre de 1870.
Elle fut pendant longtemps l'unique accès Sud de la ville. Elle était percée à l'origine de trois ouvertures (une porte charretière centrale et deux portes piétonnes latérales), avant de conserver que deux passages identiques.
La toiture est composée de tuiles en bois.
La porte des Terreaux
Également appelée porte Neuve construite par le génie en 1848 pour faire jonction avec la porte des moulins (au sud de la ville) également a deux porches à l'ouest de la ville.
La porte Boulière (ancienne porte Saint-Didier)
À l'ouest de la ville : vraisemblablement ouverte à la fin du XIVe siècle, elle servait de lieu de réunion des capitaines à masse.
La porte Longe-Porte
La plus ancienne porte ouverte. Elle est formée par le 2e arc de triomphe que l'on pense généralement avoir été élevé en l'honneur de Constance Chlore pour sa victoire sur les Germains en l'an 301.
Porte augustéenne aujourd'hui incluse dans les remparts, elle est l'unique partie visible des monuments ornementaux de l'époque gallo-romaine. Elle fut construite vers -20 avant Jésus-Christ.
Patrimoine religieux
Indépendamment des éléments remarquables signalés ci-dessous, le charme de Langres tient à la préservation générale de son cadre. Les bâtiments anciens en pierre, la faible circulation, l'éclairage des bâtiments, un tourisme contrôlé et une population similaire en nombre à celle du XVIIIe siècle, donne l'impression que le temps s'est suspendu entre les murs de la ville. En , par ses lettres patentes, Louis XI confirma sa protection royale pour la cathédrale de Langres.
La cathédrale Saint-Mammès, place Jeanne Mance, et son cloître (actuelle bibliothèque municipale)
Inspirée par l'école de Cluny et par l'architecture gallo-romaine, la cathédrale est une des œuvres les plus remarquables du XIIe siècle, à mi-chemin entre l'art roman et l'art gothique. La façade fut élevée de 1760 à 1768. À noter : les chapelles, les tapisseries, le buffet des grandes orgues, les boiseries, les grilles en fer forgé…
Couvent des Ursulines, rue Tournelle, (fin XVIIe siècle, rue de la Tourelle)
Installée à Langres en 1613, les sœurs de sainte-Ursule entame la construction d'un couvent en 1631, mais la chapelle ne fut achevée que vers 1675. Transformés en caserne à partir de 1818, l'essentiel des bâtiments fut démoli en 1974 pour la construction d'une habitation particulière. L'ancienne chapelle du couvent est désormais protégée en tant que monument historique.
Datée de 1676 et désaffectée à la Révolution, elle est reconvertie en théâtre depuis 1838 et entièrement rénovée en 2000. Le théâtre compte 250 places, rue de la Comédie.
Originale et complexe, elle présente cinq nefs voûtées sur croisées d'ogives. À la suite d'un incendie, la façade et le clocher (campanile) furent reconstruits entre 1728 et 1745, 5 place Jenson.
La chapelle des Annonciades
Chapelle de l'ancien monastère des religieuses de l’Annonciade. Cet édifice abrite des objets d’art sacré. Des expositions ponctuelles rappellent le rayonnement considérable du diocèse de Langres pendant de nombreux siècles, 2 rue Longe Porte.
Chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrance
Au sommet du Mont des Fourches,,. Chapelle octogonale construite en 1873 sur la colline des Fourches, sur un plan de l'architecte langrois Girard.
Monument à Diderot : œuvre d'Auguste Bartholdi de 1884, restaurée en 2008. Son piédestal recense les principaux collaborateurs du projet encyclopédique ;
Maison natale de Denis Diderot : une discrète plaque en pierre signale la naissance de Diderot sur la façade du no 6 (au niveau du premier étage) place Diderot (place Chambeau jusqu'à la fin du XIXe siècle). Selon Raymond Trousson, l'emplacement ainsi désigné est erroné : le lieu exact est le no 9 de la place, au coin avec la rue du Grand-Cloître ;
L’hôtel de ville (1776-1783) : don du roiLouis XV, construit à l'emplacement de l'ancienne maison de ville, il fut plusieurs fois ravagé par des incendies, dont le plus grave fut celui de 1892. Le fronton triangulaire supporté par quatre colonnes corinthiennes, dressées au-dessus d'un perron de l'escalier à double volée est sculpté d'un cartouche aux armes de la ville. Réfection en 1893 ;
L’hôpital de la Charité : l'actuel centre hospitalier de Langres est un établissement public de santé fondé au XIIe siècle, qui a connu au fil du temps de nombreuses restructurations architecturales. Les plus remarquables datent de la fin du XVIIIe siècle (portail et chapelle en 1770) ;
Château du Mont (XVe siècle) : construction civile la plus importante du Moyen Âge encore visible. Une tour octogonale contient un escalier ; chaque pan est séparé par un contrefort et chaque étage souligné par une moulure et des gargouilles ;
Poste de garde de l’évêché avec le lac de la Liez en arrière-plan (côté Est de la ville) ;
Maison Renaissance (10 rue Saint-Didier) : façade à ordre et scandée sur trois étages par des colonnes successivement ioniennes, corinthiennes et composites, frises et gargouilles.
Hôtel du Breuil de Saint-Germain : hôtel particulier construit en 1576 composé de deux ailes perpendiculaires derrière un grand portail. Le décor du corps de logis date du
XVIe siècle. Après deux années de rénovation, il est devenu la Maison des Lumières Denis Diderot le , 300 ans exactement après la naissance de Denis Diderot ;
Le collège Diderot et sa chapelle : ancien collège des Jésuites où Denis Diderot fit ses études. Le bâtiment est achevé en 1767 ;
L'hôtel d’Amboise, dit de Rose date du début du XVIe.
Jardins et promenades
Square Claude-Henriot : créé en 1830 sur l'emplacement de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul, le square fut agrémenté d'un kiosque à musique (1890) et d'une statue de Jeanne Mance par Jean Cardot (1968) ;
Promenade de Blanchefontaine : plantée sur l'ordre de Sully (ministre d'Henri IV), pour remercier les langrois de leur fidélité au roi pendant la Ligue, la grande allée de Blanchefontaine se compose de trois voies parallèles, de 800 m, bordées d'arbres, qui conduisent le promeneur jusqu'à la fontaine de la Grenouille. Ce cadre inspira Denis Diderot dans plusieurs de ses écrits, en particulier dans sa lettre à Sophie Volland du .
Félix Biet (Langres 1838-Saint-Cyr-au-Mont-d'Or 1901), missionnaire en Chine et naturaliste ;
Joseph Boillot, né aux environs de 1546, ingénieur architecte, etc., il répare les remparts de la ville, publie en 1592 Nouveaux portraits et figures de termes, pour l'architecture ;
Étienne Jean Bouchu (Langres 1714-Arc-en-Barrois 1773), mécanicien-chimiste. Il collabora à l'Encyclopédie de Diderot, en particulier pour les articles sur la fabrication du fer ;
Henri Suquet (Langres 1902-1980), auteur de romans pour la jeunesse ;
Jehan Tabourot, appelé généralement par son anagramme, Thoinot Arbeau (Dijon 1520-Langres 1595), auteur de l'Orchésographie (premier ouvrage à noter des pas et des figures de danse), imprimeur à Langres, éditeur du Calendrier des bergers.
Jeanne Mance (Langres 1606-Montréal 1673), première infirmière laïque nord-américaine, fondatrice de l'Hôtel-Dieu de Montréal et cofondatrice de la ville de Montréal (Québec, Canada) ;
Henri Mettrier (Langres 1874-1949), historien, alpiniste et géographe ;
Fernand Contandin, dit Fernandel (Marseille 1903-Paris 1971), acteur. Fernandel a effectué une partie de son service militaire à Langres. Au sein des anciennes casernes langroises, une salle, désormais aménagée en espace de convivialité et qui accueille l’Harmonie municipale et l’école municipale de musique, a été baptisée de son nom en souvenir de ce passage.
D'azur semé de fleurs de lis d'or, au sautoir de gueules brochant sur le tout.
Les armes de la cité sont en réalité les armoiries du siège épiscopal, dont le titulaire était également duc de Langres et pair de France. Ces armoiries sont très anciennes puisqu'on les trouve déjà dans le sceau de saint Hérulphe, 32eévêque de Langres, de 755 à 774.
L'écu est placé dans un cartouche et timbré d'une couronne murale. On rencontre toutefois encore fréquemment une anomalie héraldique dans le blason officiel de Langres : c'est la couronne ducale, conservée de l'ancien duché-pairie qui, à la place de la couronne murale, timbre les armoiries.
Quant à l'inscription du cartouche Civitas antiqua Lingonum (l'antique cité des Lingons), elle rappelle les origines celtes et le fait qu'elle fut une des premières cités des Gaules à se voir accorder la qualité de peuple allié, puis la citoyenneté romaine.
Galerie
Cathédrale Saint-Mammès.
Cathédrale Saint-Mammès.
Cathédrale Saint-Mammès.
Cathédrale Saint-Mammès, cloitre.
Porte des Moulins.
Remparts et Funiculaire.
Tour Saint-Ferjeux.
Chapelle Notre-Dame-de-la-Délivrance
Ancien collège des Jésuites.
Porte de l'Hôtel de ville.
Maison Renaissance (façade arrière).
Maison Renaissance (façade avant).
Cave Maison Renaissance.
Église Saint-Martin.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Langres comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Jean-Pierre Jacquemart, Architectures comtoises de la Renaissance, 1525-1636, Besançon, Presses Universitaires de Franche-Compté, (lire en ligne), p. 91-94.
↑Archives Départementales de Haute-Marne, 19 J 2, Fol 296, Notes, copies et analyses d'actes de manuscrits ou de publications sur l'histoire de Langres des origines au XIXe siècle.
↑Louis-Emmanuel Marcel, Le Cardinal de Givry, évêque de Langres (1529-1561) : La Réforme, Dijon, Maurice Darantière, (lire en ligne).
↑Paulette Chone, « Les Nouveaux Portraits et Figures de Termes de Joseph Boillot, à Langres en 1592 », Sebastiano Serlio à Lyon. Architecture et imprimerie, , p. 466-469.
↑Stéphane Simonnet, Claire Levasseur (cartogr.) et Guillaume Balavoine (cartogr.) (préf. Olivier Wieviorka), Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944- 8 mai 1945 : des débarquements aux villes libérées, Paris, éd. Autrement, coll. « Atlas-Mémoire », (1re éd. 1994), 79 p. (ISBN978-2-746-70495-4 et 2-746-70495-1, OCLC417826733, BNF39169074), p. 35.
↑par allusion au marquis de Rose qui fut propriétaire des lieux au milieu du XIXe siècle. Voir ici
↑, Hubert Gautier, Le banc De Diderot à Blanchefontaine et sa lettre à mademoiselle Volland du 3 août 1759, Langres, 1930 (incl. une photographie de la promenade de Blanchefontaine, le jet d'eau).
↑Henri Brocard, Le Musée de Langres, lectures faites à la section des beaux-arts pendant la Session de 1879, In Ministère de l'Instruction publique et des beaux-arts, Réunion des sociétés savantes des départements à la Sorbonne du 4 au : Section des beaux-arts, Paris, E. Plon et Cie, 1877, p. 77 ().
↑Artistes et ouvriers d'art à Langres avant la révolution, chanoine Louis Marcel, 1935
La bibliothèque diocésaine est par ailleurs un centre d'information très riche mais méconnu sur l'histoire de la ville.
(Liste non exhaustive, classée par années d'éditions).
Denis Gaultherot, L'anastase de Langres, chez Jean Boudrot, 1649 (lire en ligne).
P.-Jac. Vignerio, Chronicon lingonense ex probationibus decadis historiae contextum uiriusque, Langres, 1665.
Abbé Mangin, Histoire du diocèse de Langres et de celui de Dijon, Paris, 1765, 3 vol.
Jean Baptiste Stanislas Martial Migneret, Précis de l'histoire de Langres, Langres, Dejussieu, 1835 (en ligne).
Théodore Pistollet de Saint-Ferjeux, Recherchas historiques et statistiques sur les principales communes de l'arrondissement de Langres, Langres, 1836.
Théodore Pistollet de Saint-Ferjeux, Anciennes fortifications de Langres, dans Mémoires de la Société historique et archéologique de Langres, 1860, p. 231-252(lire en ligne)
Théodore Pistollet de Saint-Ferjeux, Langres pendant la Ligue, Dumoulin libraire, Paris, 1868 (lire en ligne)
Gaston de la Noé (1836-1902), Langres pendant la guerre de 1870-1871 : d'après les documents officiels français et allemands, Paris, Hurteau, , 104 p., in-18° (BNF30736946, lire en ligne).
Louis Marcel, Pierre Guyot de Giey : un bienfaiteur insigne du musée de Langres, sa vie, sa maison, ses collections (1771-1844), Langres, Impr. champenoise, 1917, in-8°, IV-108 p., pl., portraits. Extrait du Bulletin de la Société historique et archéologique de Langres, 1917 (t. VII).
Louis Marcel, Une vieille maison bourgeoise de Langres : l'hôtel Royer, sa rue, ses anciens propriétaires, ses collections, Langres, Impr. champenoise, 1920, in-8°, 48 p., pl., portr.
Louis Marcel, Un ancien cru français disparu : le vin de Langres, conférence, Langres, "le Musée", 1924, in-16, 40 p.
Louis Marcel et Louis-Emmanuel Marcel, Artistes et ouvriers d'art à Langres avant la Révolution : essai de répertoire, Langres : impr. Champenoise, 1935, in-8, 84 p.
Ferdinand Claudon (1871-1935), Histoire de Langres et de ses institutions municipales jusqu'au commencement du XVIe siècle, Association bourguignonne des Sociétés savantes, Dijon, 1954
Georges Viard, Aux origines du collège de Langres. Notes sur les écoles de la ville, de 1413 à 15447, dans Bulletin de la Société historique et archéologique de Langres, 1er trimestre 1979, volume 254, p. 197-207(lire en ligne)
P. Jacquinot, Les alliés à Langres en 1814. In : Revue de l’Institut Napoléon, 1989, no 153, p. 47-57.
Jean-Paul Pizelle (1947-) (préf. Georges Viard), Mémoires de Langres, 1860-1930 : 405 photos, cartes postales, gravures, Langres, éd. D. Guéniot, , 223 p., 29 cm (ISBN2-87825-376-0 et 978-2-87825-376-4, BNF40973441).
A. Journeaux (dir.), Histoire de Langres, la vie d'une cité, 3e édition, Guéniot, Langres, 2008.
Charly Damm et Éric Rückstühl, Langres et son pays, une longue histoire (BD), 2 tomes, éditions du signe, Strasbourg, 2023