Aujourd'hui, Le Centaure de Dieu est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat dans la société. Depuis ses origines jusqu’à son impact actuel, Le Centaure de Dieu a fait l’objet d’études et de réflexions d’experts et de professionnels de différents domaines. Tout au long de l'histoire, Le Centaure de Dieu a joué un rôle fondamental dans l'évolution de l'humanité, influençant notre façon de vivre, de travailler et d'interagir. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de Le Centaure de Dieu et son importance dans le monde d'aujourd'hui, en analysant ses effets et ses implications possibles pour le futur.
Le Centaure de Dieu | |
Auteur | Jean de La Varende |
---|---|
Pays | France |
Genre | Roman |
Éditeur | Grasset |
Date de parution | 1938 |
Nombre de pages | 328 |
modifier ![]() |
Le Centaure de Dieu est un roman de Jean de La Varende. Écrit au Chamblac entre 1934 et 1937, ce roman a été publié en 1938 aux éditions Bernard Grasset et a reçu la même année le Grand prix du roman de l'Académie française. Ce roman appartient au premier cycle de La Varende, le « cycle des Tainchebraye-La Bare », qui comprend les trois romans : Nez-de-Cuir, gentilhomme d'amour (1937), Man' d'Arc (1939) et Le Centaure de Dieu (1938).
À l’époque du Second Empire, la vieille lignée normande et romanesque des La Bare se déchire. Fidèle à la cause royale, dans la suite de l’épopée de Man' d'Arc, cette famille de hobereaux est imprégnée de chasse, de guerre pour servir son roi et sa foi, mais elle regarde la religion catholique qui l’imprègne pourtant, avec un certain art de l’écart spirituel.
Deux frères se font face : Manfred de La Bare, l’aîné, et Gaston, son cadet, tous deux fils du marquis Amélien. Gaston ressent l’appel du sacerdoce, mû par un désir d’absolution des écarts moraux de ses ancêtres. Il sert la France avec foi et noblesse, mais le nom des La Bare s’éteint avec lui.
La Varende met en scène dans quelques passages de ce roman le fameux cardinal Henri de Bonnechose, évêque d'Évreux de 1855 à 1858, puis archevêque de Rouen de 1858 à 1883.