Dans cet article, nous explorerons en profondeur le sujet de Le Petit Matin (journal), en abordant ses différentes facettes, son importance dans la société actuelle et sa pertinence à travers l'histoire. Nous examinerons son impact dans différents domaines, de la politique et de l'économie à la culture et à la technologie. Le Petit Matin (journal) est un thème qui nous permet non seulement de mieux comprendre le monde qui nous entoure, mais nous invite également à réfléchir sur notre rôle dans celui-ci et à remettre en question nos croyances et convictions. Grâce à une analyse exhaustive, nous visons à faire la lumière sur un sujet qui n'est pas seulement d'intérêt académique, mais qui peut également avoir de profondes implications pour notre vie quotidienne.
Le Petit Matin | |
Pays | ![]() |
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Langue | Français |
Périodicité | Quotidien |
Genre | Généraliste |
Diffusion | 5 000[1] ex. |
Date de fondation | 1923[2] |
Date du dernier numéro | 1967[3] |
Ville d’édition | Tunis |
Propriétaire | Simon Zana[1] |
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Le Petit Matin est un quotidien en langue française qui a paru en Tunisie sous le protectorat français puis durant une dizaine d'années après l'indépendance.
Dirigé par Simon Zana, il était considéré comme l'organe de la communauté juive du pays[4], en raison de « la personnalité de son propriétaire, l'orientation de ses chroniques et la place qu'il fait aux informations juives »[2].
Dans l'entre-deux-guerres, des problèmes financiers le conduisent à un rapprochement avec La Dépêche tunisienne alors dominante[1]. Sous le régime de Vichy, il devient le « seul organe juif autorisé »[1] en étant contraint de porter dès le la mention de « Journal israélite de Tunisie »[5]. Il consacre alors une place au judaïsme et à l'histoire du peuple juif, en s'abstenant toutefois de prendre la défense des Juifs de Tunisie[5].
Après l'indépendance, face à la concurrence grandissante de L'Action tunisienne et de La Presse de Tunisie, le journal cesse de paraître à l'été 1967[3].