Dans cet article, le sujet de Le Regard libre sera abordé dans une perspective large et détaillée, dans le but d'offrir au lecteur une vision complète et actualisée de ce sujet d'intérêt. Divers aspects liés à Le Regard libre seront analysés, notamment son origine, son évolution, son impact actuel et ses possibles perspectives futures. De même, différents points de vue et avis d'experts sur le sujet seront présentés, afin de fournir une vision complète et enrichissante de Le Regard libre. De plus, des études de cas et des exemples concrets seront présentés qui illustrent la pertinence et l'importance de Le Regard libre dans différents contextes. A travers cet article, nous visons à fournir au lecteur une compréhension complète de Le Regard libre, afin qu'il puisse approfondir ses connaissances et obtenir une vision large et détaillée de ce sujet intéressant.
Le Regard Libre | ||
![]() En-tête du Regard Libre depuis octobre 2021 | ||
Discipline | Généraliste | |
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Langue | français | |
Rédacteur en chef | Jonas Follonier | |
Publication | ||
Maison d’édition | (Suisse) | |
Période de publication | depuis 2014 | |
Fréquence | mensuel | |
Indexation | ||
ISSN (papier) | 2571-7723 | |
ISSN (web) | 2571-967X | |
Liens | ||
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Le Regard libre est un média suisse romand[1] fondé en 2014 à Sion avec une ligne « orientée vers la réflexion ». D'abord publié en ligne, il est diffusé en version papier mensuelle depuis 2015 et en kiosque depuis 2021.
En 2022, le mensuel comptait une vingtaine de journalistes, tous bénévoles, et un lectorat d'environ 15 000 personnes[2].
Le média est fondé en 2014 à Sion, dans le canton du Valais, par Jonas Follonier[3], alors encore au collège[4],[5] et devenu par la suite également journaliste à Watson[6], puis correspondant au Palais fédéral pour L'Agefi[7], et deux de ses camarades du lycée-collège des Creusets, ainsi que Nicolas Jutzet[8], vice-président des Jeunes libéraux-radicaux suisses de 2019[9] à 2021[10]. Ce sont les difficultés à obtenir des piges dans les médias en place qui le conduisent à créer son propre titre[2].
Paraissant sous forme de magazine papier mensuel depuis 2015[11], année à partir de laquelle il est rédigé et publié à Neuchâtel[2], le mensuel est distribué en kiosque depuis notamment grâce au soutien de la Fondation Aventinus[3].
Depuis le 1er février 2022, chaque édition papier propose « un grand dossier autour d’un sujet principal traité sous divers angles : culturel, politique, géostratégique, philosophique, artistique, etc. »[12].
L'équipe se compose d’une petite trentaine de jeunes collaborateurs bénévoles[13], dont une vingtaine de plumes[6]. Selon un article d’ArcInfo publié le , « Le Regard libre séduit 15 000 lecteurs chaque mois en ligne »[2].
Sur son site internet, Le Regard libre se présente comme un « un média de réflexion, qui ne souhaite pas tant informer son lectorat que lui donner matière à penser[13] », comme l'indique également le sous-titre de la revue « Pour la culture et le débat d'idées » apparu en 2017[14] et disparu en 2021[15] au profit de « Plus de réflexion sur l'information »[6], puis « Premier mensuel suisse de débat » en janvier 2024[16]. Les échanges d'opinions y sont très présents[17]. Dans une tribune parue dans Le Temps en 2024, le rédacteur en chef de Regard libre présente le mensuel comme « libéral et conservateur » et s'inscrivant dans l'héritage des Lumières[18].
Selon Laurent Gayard, chroniqueur à la Revue des Deux Mondes, Le Regard libre « défend un libéralisme intellectuel placé sous le signe du pluralisme et orienté avant tout vers le débat d’idées. Un libéralisme – et ce n’est plus si courant dans l’espace francophone – qui semble revendiquer une filiation somme toute assez tocquevillienne[11] ». D'après l'hebdomadaire suisse Le Confédéré, « Le Regard Libre entretient le mot d'ordre de son sous-titre "Pour la culture et le débat d'idées" : proposer de riches pages culturelles sans concession et lancer le débat intellectuel. Généraliste et pluraliste, la ligne éditoriale de la revue se veut complémentaire aux approches traditionnelles des médias, en misant sur une plus-value importante : celle de la réflexion. »[19] Le même article relaie une citation de Pascal Couchepin, décrit comme un « soutien de la première heure »[19] : « Le Regard Libre, comme son nom l'indique, pense en dehors des dogmes et, par là même, défend l'idée de liberté de pensée et compte dans le paysage politique et intellectuel. »[19] L'ancien président de la Confédération tient d'ailleurs depuis une chronique dans les colonnes du Regard Libre ayant pour titre « La lecture de Pascal Couchepin »[20].
Dans une analyse parue en 2022, Le Courrier relève que « les numéros thématiques privilégient des interlocuteurs très ancrés à droite »[21].