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Artiste | |
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Date |
1905 |
Type | |
Matériau | |
Dimensions (H × L) |
72 × 92,5 cm |
Mouvement | |
No d’inventaire |
MG 2225 |
Localisation |
Le Sentier des douanes est une peinture réalisée en 1905 par Paul Signac (1863-1935). L’œuvre est une peinture à l'huile sur toile de 72 × 92,5 cm représentant le sentier de douane de Saint-Tropez, exposée au musée de Grenoble depuis 1923.
La peinture s'inscrit dans le mouvement néo-impressionniste, et plus particulièrement à la théorie du divisionnisme, aussi nommé pointillisme[1].
Afin de réaliser ce tableau, Paul Signac s'exerce à plusieurs études au crayon, à l'encre et à l'aquarelle. Une première version de l’œuvre est peinte en 1902. Pendant l'été 1904, il se rend à Saint-Tropez où il travaille avec Matisse[2].
C'est en 1905, l'année de naissance du fauvisme, qu'il peint l’œuvre finale dans son atelier. Parfois appelé sobrement Saint-Tropez ou Le sentier côtier, l’œuvre est finalement nommée Le Sentier de douane cette année-là.
La peinture montre que Signac est attaché au mouvement pointilliste. Pour mettre en lumière les différentes parties du tableau, le peintre choisit d'appliquer un mouvement à ces touches de peinture : en oblique pour signifier les pentes de la colline, en verticale pour les arbres ou en horizontale pour la mer et le ciel[2]. Ces mouvements de brosse permettent de donner à la toile à un effet de dynamisme à chacun des espaces.
Captivé par la lumière et les couleurs qu'offre le coucher de soleil, le peintre met en opposition les tons bleus-violets de la mer et des ombres aux couleurs roses-orangées des troncs d'arbres et de la terre[3],[4].
Cette peinture met en avant que l'artiste a cherché à donner une représentation plus fidèle du sentier en travaillant à partir de ses précédentes esquisses et dessins.
En 1923, l’œuvre est léguée au musée de Grenoble par Georgette Agutte et Marcel Sembat[1]. Elle est depuis exposée dans ses locaux.