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Titre original | Liebelei |
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Réalisation | Max Ophüls |
Scénario |
Kurt Alexander Max Ophuls Hans Wilhelm, d'après Arthur Schnitzler |
Musique | Theo Mackeben |
Acteurs principaux | |
Pays de production | Troisième Reich |
Genre | drame romantique |
Durée | 82 minutes |
Sortie | 1933 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Liebelei, sorti en 1933, est le dernier film réalisé en Allemagne par Max Ophüls. C'est l'adaptation de la pièce éponyme d'Arthur Schnitzler, Amourette (de).
Ophüls en a ensuite réalisé une version française, en gardant une grande partie de la distribution, sous le titre Une histoire d'amour. En 1958, Pierre Gaspard-Huit en réalise un remake, Christine.
Le lieutenant Fritz Lobheimer entretient une relation amoureuse avec la baronne Eggersdorf et par le biais de son ami Theo Kaiser, il va faire la connaissance de Christine, la fille d'un musicien de chambre. Les deux jeunes gens tombent rapidement amoureux malgré leur différence sociale. Fritz souhaite vivre sa vie à ses côtés et abandonne son ancienne vie. Cependant, son passé le rattrape lorsque le mari de la baronne découvre des preuves de leur relation adultère. Ancré dans des conventions anciennes, Eggersdorf se sent blessé dans son honneur et réclame publiquement réparation. Les règles de l'aristocratie exigent alors que l'affaire soit réglée par un duel mais Théo va, au risque de perdre sa position, tenter de convaincre sa direction militaire d'intervenir dans cette affaire en vain.
Lors du duel, Fritz est mortellement blessé et dégoûté par les codes de l'honneur obsolètes et absurdes qui ont coûté la vie de son ami, Theo quitte l'armée et revient à la vie civile. Quand lui et sa petite amie, Mizzi, annoncent à Christine la mort de son bien-aimé, celle-ci, par désespoir, se jette d'une fenêtre.
Le film a été tourné en français sous le titre Une histoire d'amour, avec Abel Tarride (le vieux Weyring), Simone Héliard (Mizzi Schlager), George Rigaud (Théo), Georges Mauloy (le colonel), André Dubosc (le concierge) ; dialogues d'André Doderet[1] ; photographie, Ted Pahle ; directeur de production, Ralph Baum.
Selon Télé 7 jours « ce film est le premier important dans l'œuvre de Max Ophüls, et qui le rendit célèbre. On y retrouve les thèmes qu'il développera plus tard: l'opposition entre le plaisir et le malheur, et le sens tragique du destin. »[2]