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La liste des familles nobles de Lorraine comprend les principales familles nobles originaires de Lorraine, qu'elles soient subsistantes ou éteintes.
La plus haute noblesse lorraine siégea au sein du Ban ducal, qui constituait l'institution la plus illustre du duché, une sorte de « tribunal souverain, propre à la nation lorraine » : « On sait que dans ce noble corps, dont les travaux étaient gratuits, et où siégeaient seuls les chefs des familles patriotes immémoriales, dites ‘’d'ancienne chevalerie’’, chacun des membres était libre d’échanger son rôle de juge contre le glorieux privilège de se faire, s'il le voulait, l'avocat de ses amis ‘’ou des pauvres’’. Il n'y avait pas de si hauts personnages en Lorraine, fût-ce un Lenoncourt, un Du Chatelet, un Des Armoises, un Du Beauvau, un Choiseul, un Bassompierre, un Ludres, un Custine, un Ficquelmont, un Raigecourt, un d’Haussonville, à qui ne pusse s’adresser des paysans dans la misère, en le priant de remplacer pour eux l'homme de loi, et de plaider leur cause. La haute fonction de ces pères de la patrie. »
« Siégeaient au ban ducal, magistrats-chevaliers, Et d'un « sénat des rois » semblaient faire partie : Lignéville, Beauvau, Custine, Lambertye, Raigecourt, Nettancourt, Montarby, Le Veneur, Choiseul, de qui La Mothe a conservé l'honneur, D'Haussonville, qu'ici prônait jusqu'à la pierre, Ludre, , Mitry, Bouzey, Du Hautoy, Bassompierre, D'Hunolstein, Ficquelmont, Briey, D'Ourches, La Vaulx, Gourcy... Qu'ils viennent tous en aide à nos travaux. »
Sont convoqués aux états du Bassigny par le duc Charles III en 1580:
Procès-verbal de la séance de 1580 à Bourmont:
Philibert du Chastellet
Claude Villiers
Signé du duc Charles à Louppy
Convocation pour le à La Mothe
Saint Balmont
Ligneville capitaine de La Mothe
C Guerin
M Henry
Philibert du Chastellet prévoit pour le de tenir les états en l'hôtel de Catherine de Sandrecourt, veuve de Christophe de Ligneville, à La Mothe, convocations pour le 8.
greffier Jean Blanchevoye.
élus le
Clergé:
Anne du Chastellet,
Philippes de Choiseul,
Gabriel de Saint Belin,
Nicol Levain,
Paris Huart,
Noblesse:
Jean du Chastellet,
René d'Anglure (capitaine de La Mothe),
Christophe de Choiseul,
Jacque de Luz,
Claude des Verrières,
Noble seigneur Bertrand de Jalin, escuier, seigneur usufruictier de la prevosté de Chastillon, aagé de LVI ans ou environ.
Pierre de Monstreul, escuier, seigneur dudit lieu, aagé de LXVI ans ou environ.
Pierre de Bignecourt, escuier, seigneur de Verrecourt en partie, aagé de LX ans ou environ.
Guillaume de Seurey, escuier, seigneur de Verrecourt en partie, aagé de XL ans.
Didier de Mandres, escuier, seigneur de Chaulmont la Ville en partie, aagé de XLVI ans.
Robert de Noirbeuille, escuier, seigneur de Senaides en partie. etc., aagé de XLVIII ans ou environ.
Guillaume de Bouzey, escuier, aagé de LXXV ans ou environ.
Pierre de Sainctouaym, escuier, aagé de LIIII ans ou environ.
Nous Jehans de Seroncourt, bailly dessus nommé, aagé de LX ans ou environ.
Nous Didier Beget, seneschal de la Mothe dessusdit, aagé de L ans ou environ.
Jehan Daucy, escuier, seigneur de Charmes en l'Angle, gruier du Bassigny, aagé de L ans ou environ.
Noble homme Drouot la Guerre, prevost de la Marche, aagé de LXIIII ans.
Noble homme Claude Vivien, clerc, juré de la Marche, aagé de LIIII ans.
Les Lorrains du Barrois
Dans la coutume de 1579 on trouve :
Cherisey, d'Aunoy, Rosières, Laudinot, Perin, Moictrey, du Puys, d'Ourches, d'Aussigny, Bonnaitre, Château-Regnaut, Mehairon, Tresves, Saintignon, Balaine, Raulin, siégeant pour la noblesse. Tous sont fieffés mais pas forcément nobles. Arnould, dont beaucoup de membres ont été mis à mort lors de la Révolution française. Il reste cependant des descendants en Meuse qui ignorent leur affiliation.
d'Hoffelize Liégeois, Lettre impériale de 1726, famille issue de Regnault d'Hoffelize (Vic-sur-Seille, XVe siècle)
Héraudel
d'Houche
de Housse
d'Hunolstein
Houillon, Lettres du duc de Lorraine (13/07/1533, Lunéville)
Humblot, Lettres du duc de Lorraine (23/02/1564, Nancy), anobli par charges (1627), Honneur de la Cour (1649), maintenue (1669,1698), anoblissement par L.P du roi Louis (04/1661), admise aux États de Bourgogne (1712)
↑« Armorial », sur claude.fourcaulx.free.fr (consulté le ).
↑Mathieu Husson est né à Verdun le 19 février 1599, fils de Jacques d'Husson, écuyer, et de Nicole L'Écossois, fille de Jean L'Écossois, écuyer, qui a été échevin de Verdun, et de Claudon de Rosne. Il a étudié au collège des jésuites de Verdun, puis au collège de Louis le grand, à Paris, où il a étudié la rhétorique, avant de faire sa philosophie à Pont-à-Mousson, et le droit à Bourges. Il a été au barreau de Paris. Il accompagne l'évêque de Verdun, Charles de Lorraine, à Paris en 1619. Il fait un voyage à Rome en 1620. Le chapitre de la cathédrale de Verdun le nomme substitut du procureur général de l'église en 1621. Il a rempli de nombreuses missions pour le roi. Finalement nommé subdélégué de l'intendance au département de Verdun. Il meurt le 30 août 1677, laissant 4 enfants de son second mariage (J.-B. Kaiser, « Mathieu Husson L'Ecossois », dans Les Cahiers Lorrains, 1931, no 1, p. 2-6)
↑Jean Cayon, Ancienne chevalerie de Lorraine, Ou Armorial historique & généalogique des maisons qui ont formé ce corps souverain, eu droit de siéger aux assises; avec un discours préliminaire et d'autres éclaircissements; par Jean Cayon, , 234 p. (lire en ligne).
↑Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, (lire en ligne)
↑Pierre d' (1592-1660) Auteur du texte Hozier et Antoine Marie d' (1721-1801) Auteur du texte Hozier de Sérigny, Armorial général des registres de la noblesse de France / Louis-Pierre d'Hozier et d'Hozier de Sérigny,... ; résumé et précédé d'une notice sur la famille d'Hozier, d'après des documents inédits, par Edouard de Barthélémy, (lire en ligne)
↑P.-Louis Lainé, Dictionnaire véridique des origines des maisons nobles ou anoblies du royaume de France, Paris, (lire en ligne), p. 268
↑André Borel D'Hauterive, Annuaire de la Pairie et de la noblesse de France, Volume 3, Paris, Bureau de la revue pittoresque, , 388 p. (lire en ligne), p. 215
↑« La maison de Ficquelmont est l'une des plus anciennes, des plus nobles, des plus distinguées de l'ancienne chevalerie de Lorraine. Ses titres et ses armes étaient jurés et reçus depuis un temps immémorial dans les quatre chapitres nobles et séculiers des duchés de Lorraine et de Bar, Remiremont, Epinal, Poussay et Bouxieres », dans : Poplimont, La Belgique héraldique: recueil historique, chronologique, généalogique et biographique..., t. IV, Paris : 1866. Voir le texte source.
↑Ambroise Pelletier, Nobiliaire ou armorial général de la Lorraine et du Barrois, Chez Thomas pere et fls, (lire en ligne)
↑(de) J. Siebmacher's großes und allgemeines Wappenbuch (Band 2, 11). Der Adel Deutsch-Lothringens, Nürnberg,
↑Ambroise Pelletier, Nobiliaire ou armorial general de la Lorraine et du Barrois, Nancy : Chez Thomas pere et fls, (lire en ligne), p. 85
Voir aussi
Bibliographie
(de) Maximilian Gritzner, Der Adel Deutsch-Lothringens, Nürnberg, 1873 (BNF30543762) (lire en ligne)
Yann Vaxelaire, L’ancrage résidentiel de la noblesse lorraine à Nancy, capitale des duchés : Réalités spatiales et architecturales au travers des archives notariales (xviie-xviiie siècles) In : Noblesses et villes de cour en Europe (xviie-xviiie) : La ville de résidence princière, observatoire des identités nobiliaires à l’époque moderne . Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2022 (généré le 16 septembre 2023). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/pur/160584>. (ISBN9782753587199). DOI : https://doi.org/10.4000/books.pur.160584.