Dans le monde d'aujourd'hui, Longévité des personnages de la Bible est un sujet qui suscite intérêt et débat dans différents cercles sociaux. Depuis son émergence, Longévité des personnages de la Bible a retenu l’attention des chercheurs, des universitaires, des leaders d’opinion et de la société en général. Ce phénomène a suscité un large éventail d'opinions, de critiques et d'analyses, ce qui démontre sa pertinence et son impact sur la vie quotidienne des populations. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives liées à Longévité des personnages de la Bible, analysant son influence sur divers aspects de la vie moderne et ses implications pour l'avenir.
La longévité des personnages de la Bible, telle qu'elle est évoquée dans le Livre de la Genèse, est à l'origine d'un mythe, dont certains ont conclu qu'il incarnait la dédivinisation de l'homme, c'est-à-dire le passage de l'humanité mythique vers l'humanité historique. Le récit biblique de la Genèse étant une théologie de l'histoire, les rédacteurs bibliques diminuent progressivement la longévité des figures bibliques à mesure qu'elles s'éloignent de la perfection des origines[1]. Si certains âges sont effectivement extrêmement avancés pour signifier des âges d'or prédiluviens comme Mathusalem, d'autres âges biblique comme Moïse pourraient aussi aisément s'expliquer par des erreurs d'interprétations.
Les temps de vie ci-dessous sont issus du texte massorétique. Dans la Septante, les chiffres sont parfois différents[2].
Les mythes de longévité sont nombreux dans la Bible. Adam, le premier homme dans la Bible, meurt à 930 ans.
La chronologie présentée par la Bible montre que « l'âge des patriarches diminue régulièrement, à quelques accidents près. Cela ressemble à une sorte de « dédivinisation » de l'homme, ou à rebours, à un mode d'hominisation. Ces dix personnages postdiluviens issus de Noé servent à assurer la transition entre cette humanité mythique des premiers âges décrits dans les premiers chapitres et l'humanité historique, pour laquelle l'espérance de vie est déjà moins surhumaine »[34], sans pour autant d'immortalité.