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« Ses travaux portent notamment sur l'histoire sociale de la musique à l'époque moderne, mais aussi sur l'histoire du genre »[1]. « Spécialiste de la diffusion de l’opéra italien et de la circulation des musiciens en Europe, elle s’intéresse particulièrement aux singularités des carrières des chanteuses d’opéra au XVIIIe siècle. Les pratiques et formes de la mélomanie féminine font également l’objet de plusieurs de ses enquêtes, qu’il s’agisse du mécénat ou de l’éducation musicale donnée aux filles de la haute noblesse européenne. »[1]
Elle s'attache à expliciter « les processus d'invisibilisation qui ont marqué les œuvres et les trajectoires des musiciennes et des compositrices »[4].
Le royaume de Naples à l'heure française. Revisiter l'histoire du decennio francese, 1806-1815, actes du colloque, ouvrage collectif sous la direction de Pierre-Marie Delpu, Igor Moullier et Mélanie Traversier, Presses universitaires du Septentrion, 2018[24] (ISBN978-2-7574-2357-8) (BNF45588007)
« Musique virile et airs futiles. Génie national et genre musical au miroir de la rivalité entre deux capitales lyriques, Paris et Naples, vers 1750-vers 1815 », dans Anticléricalisme, minorités religieuses et échanges culturels entre la France et l’Italie. De l’Antiquité au XXe siècle, Paris, L’Harmattan, 2006, p. 219–249.
« Le quartier artistique, un objet pour l'histoire urbaine », Revue histoire urbaine, vol. 26, no 3, , p. 5–20 (DOI10.3917/rhu.026.0005, lire en ligne)
« Chronique d’un royal ennui. Le journal de Marie-Caroline de Naples », dans Michel Cassan (dir.), Écritures de familles, écritures de soi (France-Italie, XVIe – XIXe siècles), Limoges, PULIM, 2011, p. 127–153.
Les castrats au péril des Lumières : paradoxes d’une masculinité mutilée, dans Anne-Marie Sohn (dir.), Une Histoire sans les hommes est-elle possible ? Histoire des masculinités, Actes du colloque organisé à l’École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines, Lyon, 18–, Lyon, ENS Éditions, 2013, p. 135–145.
Le chant de la Sirène. Politique de grandeur et circulation des musiciens et des musiciennes, dans Camillo Faverzani (éd./cur.), PARTEnope. Naples et les arts / Napoli e le arti, /Bern, Peter Lang, 2013, p. 51–69.
Les chanteuses à la barre. Rivalités professionnelles et amours scandaleuses des chanteuses d’opéra devant les tribunaux de la Naples des Lumières, dans Musique et Justice, numéro thématique, Criminocorpus, revue en ligne, . [lire en ligne] sur OpenEdition.
Techniques et techniciens du spectaculaire, XVe – XVIIIe siècles dans la Revue d'Histoire du Théâtre no 278, trimestre 3, 2018 : Mécanique de la représentation. Machines et effets spéciaux sur les scènes européennes, XVe – XVIIIe siècles[30] [lire en ligne]
Théâtre
Mélanie Traversier s'est produite sur scène en français et en italien, notamment dans le cadre des Petites fêtes de Dionysos (Arbois 2010) et du Banquet du Livre (Lagrasse, 2009-2013). Elle y a joué le monologue Lampedusa beach de Lina Prosa (Lagrasse 2013, Cherbourg 2014)[1].
↑Cyril Triolaire, « Mélanie Traversier, Gouverner l’opéra. Une histoire politique de la musique à Naples, 1767‑1815 », Annales historiques de la Révolution française, no 363, , p. 208-211 (lire en ligne)
↑« Gouverner l'opéra. Une histoire politique de la musique à Naples, 1767-1815 », L'Histoire, no 353, (lire en ligne)