Ce document aborde le sujet de Magnus Brostrup Landstad sous différentes perspectives dans le but de fournir une vision complète et complète de ce sujet d'intérêt. Ses aspects historiques, ses implications actuelles ainsi que les scénarios futurs possibles sont analysés. Grâce à une approche multidisciplinaire, les différents angles sous lesquels Magnus Brostrup Landstad a eu un impact ou peut avoir un impact dans divers contextes sont explorés. De même, divers avis d'experts sont présentés et une réflexion critique est proposée sur les implications et les défis que Magnus Brostrup Landstad pose pour la société dans son ensemble. Cet article vise à contribuer à l'analyse et au débat éclairé sur Magnus Brostrup Landstad, en fournissant des éléments qui enrichissent la compréhension et le dialogue autour de ce sujet.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Sépulture | |
Nationalité | |
Activités |
Poète, collecteur de textes traditionnels, collecteur de chansons traditionnelle, psalmiste, compositeur, prêtre, musicologue, folkloriste |
Père |
Hans Landstad (d) |
Parentèle |
Distinction |
---|
Magnus Brostrup Landstad (né le à Måsøy, mort le à Kristiania) était un pasteur norvégien, compositeur de cantiques, collectionneur de textes, récits et objets du folklore norvégien. Il était un cousin de Hans Peter Krag Schnitler.
Enfant, il a déménagé avec son père, Hans Landstad (1771-1838), lui-même pasteur, à Øksnes en 1806 puis en 1811 à Vinje et en 1819 à Seljord.
Il obtient son diplôme de théologie en 1827 et travaille à Gausdal. En 1828, il épouse Wilhelmine Margrete Marie Lassen, fille du pasteur de Hadeland. Il devient pasteur de Kviteseid en 1832 où lui et sa famille tombent gravement malades la première année. En 1839, il retourne à Seljord où il prend la succession de son père décédé. En 1849, il déménage à Fredrikshald puis à Sandar en 1859.
En 1870, il est décoré de l'Ordre de Saint-Olaf ; mais en 1874, à la suite d'un AVC, il part s'installer à Kristiania.
«Er det en Forbrydelse, når jeg synger og skriver for det norske Folk?»[1] s'indignait régulièrement Landstad.
Durant les années 1830 et 1840, les débats sont houleux[2] pour savoir d'une part quel âge avait la Norvège ? Était-ce un vieux pays qui venait juste de recouvrer son autonomie (en 1814)? ou au contraire était-ce un tout jeune pays ? Dans ce cadre, se posait la question de la langue ? Comme la Norvège était un pays, elle se devait d'avoir sa langue. Fallait-il garder le danois ? "Norvégianniser" le danois ? ou encore retrouver (recréer une vraie langue norvégienne)?
Landstad, qui aura vécu la majeure partie de sa vie dans les régions où les dialectes étaient considérées par Ivar Aasen comme les plus authentiques de Norvège (c'est-à-dire non influencés par le danois), considère que le norvégien écrit est tel une langue étrangère comparé à la langue parlée.
Landstad fut un correspondant d'Ivar Aasen qu'il reçut quatre mois en 1845. Les deux partageant l'idée qu'il fallait recréer une langue véritablement norvégienne (landsmål) en lieu et place du dano-norvégien (riksmål).
Le travail d'Ivar Aasen est de donner au landsmål une grammaire. Plus largement, de donner une homogénéité, un programme, à tous ceux qui veulent écrire une langue qu'ils considèrent comme véritablement norvégienne.
Ainsi, Landstad est-il un exemple du travail accompli par Aasen. Effectivement, Landstad comptait plusieurs cheval de bataille :