L'article suivant abordera le sujet de Manu Boisteau, qui est devenu très pertinent ces dernières années. Manu Boisteau est un sujet qui a suscité l'intérêt des experts et du grand public, en raison de son impact sur différents domaines de la société. Tout au long de cet article, différents aspects liés à Manu Boisteau seront explorés, de son origine à son évolution aujourd'hui. De plus, les implications de Manu Boisteau dans divers secteurs seront analysées, ainsi que les solutions possibles et les perspectives d'avenir. Sans aucun doute, Manu Boisteau est un sujet qui mérite d'être étudié et compris en profondeur, c'est pourquoi cet article cherche à contribuer au débat et à la réflexion autour de cette question importante.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Manu Boisteau, né Emmanuel Boisteau le à Angers en Maine-et-Loire, est un illustrateur de livres éducatifs, et un auteur et dessinateur de bande dessinée.
Fils de libraire, Manu Boisteau entre à l'École Estienne dans les années 1990. Par la suite, il intègre les éditions Bayard et devient maquettiste le jour et dessinateur la nuit et le week-end. Il dessine alors des illustrations pour des livres et des journaux, et c'est en 1995, par le bimensuel Astrapi, qu'il fait la rencontre de Paul Martin avec qui il crée plus tard, Maudit Manoir et James Bonk.
Boisteau reste dans le groupe Bayard jusqu'en 2002. Il s'installe ensuite en indépendant tout en continuant Maudit Manoir dans Astrapi et James Bonk dans Je bouquine. De surcroît, Boisteau a répertorié 600 cartes postales grivoises des années 1970 dans un livre intitulé Chers tous. Le dessinateur d'origine angevine travaille également sur une encyclopédie pour filles « qui se moque du côté gnangnan des poneys »[1].
Partir un jour, roman graphique publié en 2021, narre l'histoire d'un homme qui souhaite tout quitter pour écrire un grand roman[2]. En 2023 il publie le roman graphique De l'amour et du hasard, autour d'un quinquagénaire célibataire qui cherche l'amour. Pour l'avis critique de Télérama : « humour, autodérision et comique de situation y occupent une place de choix , le dessinateur revendique la finesse d’analyse, l’art subtil de disséquer le sentiment amoureux au plus près[3] ».