Dans le monde d'aujourd'hui, Michel Reynaud est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat. Que ce soit en raison de sa pertinence historique, de son impact sur la société ou de son influence sur le plan personnel, Michel Reynaud est un sujet qui ne passe pas inaperçu. Au fil des années, elle a suscité des opinions contradictoires et a fait l’objet de nombreuses études et enquêtes. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects liés à Michel Reynaud, en analysant son importance, ses implications et les différentes perspectives qui existent autour de lui. De son impact sur la culture populaire à sa pertinence dans le domaine académique, Michel Reynaud constitue sans aucun doute un sujet d'une grande importance aujourd'hui.
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Michel Daniel Christian Reynaud |
Nationalité | |
Formation |
Université Paris Descartes |
Activité |
Président du Fonds Actions Addictions, |
Michel Reynaud, né le à Talence et mort le [1] à Villejuif, est un psychiatre et addictologue français, professeur des universités – praticien hospitalier qui a travaillé à structurer l'addictologie comme discipline en France au cours de sa carrière universitaire, puis en créant le Fonds Actions Addictions[2] et le portail Addict'Aide : le village des addictions[3].
Né le à Talence, il meurt le [4] à Villejuif[5] d'un cancer[6].
Auparavant professeur de psychiatrie et d’addictologie à l'université Paris Sud XI depuis 2000. Ancien interne et ancien chef de clinique des hôpitaux de Paris, il a été nommé en 1990 professeur de psychiatrie au CHU de Clermont-Ferrand. Il a créé, en 2001, à l'hôpital universitaire Paul-Brousse, l’Albatros[7] : Centre d'enseignement de recherche et de traitement des addictions, une référence en addictologie.
Ses travaux de recherche s’intéressent à la compréhension des mécanismes des addictions (neurobiologie, neuro-imagerie, génétique mais aussi sociologie et politique — et à leurs traitements —, en particulier pharmacologique. Il est le principal investigateur de l’étude Alpadir (étude randomisée en double aveugle du Baclofène à hautes doses dans l’alcoolodépendance). Il a été parmi les premiers à s’intéresser aux liens entre la passion et l’addiction. Il a mis en place une des toutes premières équipes de recherche clinique spécialisée dans les addictions au sein de l’unité INSERM 669.[réf. nécessaire]
Il est à l’origine de la reconnaissance de l’addictologie en tant que discipline universitaire. Ancien président du Collège national des universitaires en addictologie, et coordinateur du DESC d’addictologie et de plusieurs diplômes universitaires, il est président de l’Intersection d’addictologie au Conseil national des universités.[réf. nécessaire] Il a été membre du bureau (trésorier) de l’International Society of Biological Research on Alcoholism (ISBRA).
Il a tout particulièrement œuvré pour le développement de l’addictologie et la création de structures de soins adaptées aux patients addicts. Ancien président de la Fédération française d'addictologie, il a occupé le poste de conseiller pour la politique psychiatrique à la direction de l’Hospitalisation et de l’Organisation des soins (DHOS) jusqu’en 1997, puis de la politique addictologique auprès du directeur général de la Santé et de la MILDT jusqu’en 2000.[réf. nécessaire]
Il est l’auteur de plusieurs rapports ministériels, le dernier, Stratégies validées pour réduire les dommages liés aux addictions[8], a été remis à la présidente de la MILDECA (anciennement MILDT) pour l’élaboration du plan gouvernemental.
En , il défend ardemment malgré les multiples oppositions, la première édition de la déclination française du « Dry January », un mois d'abstinence de consommation d'alcool qui suit aux fêtes de fin d'année.[réf. nécessaire]