Dans l'article d'aujourd'hui, nous explorerons le monde fascinant de Micmacs à tire-larigot. De ses origines à son impact aujourd'hui, nous approfondirons les différents aspects qui font de Micmacs à tire-larigot un sujet d'intérêt général. Au fil des prochaines lignes, nous analyserons sa pertinence dans la société, les avancées qu'il a connues au fil du temps et les projections futures envisagées autour de Micmacs à tire-larigot. Il s’agit d’un sujet fascinant qui ne laisse personne indifférent et qui mérite d’être examiné sous différents angles pour bien comprendre son importance dans le monde d’aujourd’hui.
Réalisation | Jean-Pierre Jeunet |
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Scénario |
Jean-Pierre Jeunet Guillaume Laurant |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Epithète Films Tapioca Films Warner Bros. |
Pays de production |
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Genre | Comédie |
Durée | 105 minutes |
Sortie | 2009 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Micmacs à tire-larigot est une comédie française réalisée par Jean-Pierre Jeunet, sorti en 2009.
En 1979, le jeune Bazil, âgé de neuf ans, perd son père militaire, dans l'explosion d'une mine antipersonnel au cœur du Sahara marocain. Trente ans plus tard, alors qu'il travaille dans un vidéoclub, Bazil reçoit une balle perdue dans la tête. Il survit, mais les médecins renoncent à extraire la balle de son cerveau, de peur de l'endommager plus, et il doit éviter les émotions fortes de peur de mourir.
Ayant perdu son logement et son emploi pendant son séjour à l'hôpital, Bazil est recueilli par une bande de chiffonniers qui habitent Tire-Larigots, une caverne fantastique aménagée au coeur d'une montagne de matériaux de récupération. Il y a Remington, un homme africain qui ne parle qu'avec des expressions désuètes, Calculette, qui peut tout évaluer et calculer en un clin d'œil, Fracasse, un ancien homme-canon, Placard, qui a survécu à la guillotine, la môme Caoutchouc, une contorsionniste, Petit-Pierre, qui bricole des automates et des mécanismes de toutes sortes, et enfin Tambouille, la cuisinière qui a adopté toute cette tribu.
Bazil, devenu chiffonnier, tombe un jour, par hasard, devant les bureaux de deux compagnies d'armement : La Vigilante de l'Armement et Les Arsenaux d'Aubervilliers. La première a fabriqué la mine qui a tué son père, la seconde la balle qui est toujours dans son crâne. Il réclame une compensation auprès de cette dernière, mais le PDG Nicolas Thibault de Fenouillet le fait expulser manu militari. Il infiltre alors la Vigilante et écoute un discours du PDG François Marconi.
Bazil, avec l'aide de la bande, élabore un plan compliqué pour monter les deux compagnies l'une contre l'autre en leur faisant divers mauvais coups que les deux dirigeants attribuent chacun à l'autre. La bande va exploiter le moindre information qu'ils recueillent pour s'en servir contre eux. Tous d'abord, ils piègent à l'aéroport des émissaires d'un dictateur déchu venus acheter des armes et se font passer pour eux et faisant échouer la transaction, tout en leur disant qu'ils iront voir en face. Puis la bande fait croire aux représailles de l'autre en s'en prenant aux collections personnels des patrons (voitures de luxe pour l'un, vieux os historiques pour l'autre)...
Après une explosion de violence, Bazil est capturé puis libéré, et les deux patrons-voyous séquestrés à leur tour. Les chiffonniers leur font croire qu'ils ont été déportés en Afrique et sont à la merci des victimes de leurs ventes d'armes. Marconi et Thibault de Fenouillet, croyant obtenir la sympathie de leur geôliers, confessent leurs complicités respectives avec divers groupes terroristes et factions. Les chiffonniers dévoilent alors leur déguisement et une caméra vidéo. La confession est partagée en ligne, provoquant la ruine des deux hommes et de leurs entreprises.
Le film a été tourné[4] :
Film | Box-Office France[5] |
Box-Office Étranger[6] |
Total |
Micmacs à tire-larigot | 1 258 804 entrées |
944 401 entrées |
2 203 205 entrées |