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Développé par | Microsoft |
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Première version | |
État du projet | Actif |
Système d'exploitation | Microsoft Windows |
Environnement | Windows, macOS |
Langues | 33 langues |
Type | Abonnement |
Licence | Microsoft CLUF (d) |
Site web | www.office365.com et www.microsoft.com/fr-fr/microsoft-365 |
Microsoft 365 Copilot, anciennement Office 365 puis Microsoft 365 jusqu'en , est un marque désignant un abonnement logiciel en tant que service[note 1] de la dernière version de Microsoft Office, d'un ensemble de services Cloud et un service d'intelligence artificielle.
Le , les offres pour particuliers et TPE/PME d'Office 365 sont renommées Microsoft 365 afin de mettre l'accent sur les fonctionnalités et services de productivité extérieurs à la suite Office. La désignation Office 365 est cependant toujours utilisée sur les offres destinées aux établissements scolaires[1], et sur certaines pour les entreprises[2].
En , le nombre d'abonnés à Microsoft 365 est de plus de 400 millions[3].
En , le service prend la dénomination de Microsoft 365 Copilot par l'intégration du service d'intelligence artificielle, Microsoft Copilot[4].
Microsoft 365 est constitué de la suite Microsoft Office (Word, Excel, PowerPoint, Outlook, OneNote, Publisher et Access), ainsi que d'un ensemble de services en ligne tels que OneDrive, Exchange Online, SharePoint Online, Teams et Yammer. La suite Office permet le travail en mode déconnecté à l'instar d'une suite logicielle perpétuelle, ce qui la distingue de, qui s'utilise depuis un navigateur Web. Le principe de Microsoft 365 est d'être mis à jour au fur et à mesure des nouvelles versions d'Office[5].
Microsoft 365 propose des offres pour les particuliers (Microsoft 365 Personnel et Microsoft 365 Famille)[6], les TPE/PME[7], ainsi que les entreprises[8],[2].
Les logiciels inclus dans Microsoft 365 sont disponibles sur Windows (8.1 ou ultérieur), macOS et les appareils mobiles[9],[10].
En 2021, pour éviter l'exposition de données sensibles à une collecte par les États-Unis via le Cloud act, la Direction interministérielle du Numérique (Dinum) française interdit l'usage de Microsoft 365 pour les administrations françaises[11]. Une position similaire à celle de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) en ce qui concerne l’enseignement supérieur et de la recherche[12].
Un rapport allemand de la Datenschutzkonferenz (de) indique qu'Office 365 ne respecte pas le règlement général sur la protection des données (RGPD) européen, signalant en particulier qu'un transfert de données vers les États-Unis est nécessaire à son fonctionnement[13]. Ce rapport suit de peu la réponse du ministre de l'Éducation nationale Français, indiquant qu'Office 365 ne semble pas plus compatible avec le RGPD qu'avec la doctrine française Cloud au centre[14], et informe les rectorats de cette doctrine et des avis de la Dinum et de la CNIL sur ce point[15]. Il répond ainsi en tenant compte de l'arrêt Schrems II de la Cour de justice de l'Union européenne au député Philippe Latombe qui le questionne à ce sujet, se demandant si l'offre gratuite de Microsoft ne s'apparentait pas à du « dumping et de la concurrence déloyale »[14].
Selon le Contrôleur européen de la protection des données (CEPD), une autorité indépendante de contrôle qui veille à ce que les institutions européennes respectent le droit à la vie privée et à la protection des données, la Commission a enfreint plusieurs articles du règlement relatif à la protection des données pour les institutions, organes et organismes de l’Union, ce qui a conduit le CEPD à imposer, le , des mesures correctives[16],[17].