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Un moteur atmosphérique est un moteur thermique qui n’est pas assisté par une suralimentation (turbocompresseur ou compresseur)[1].
Un moteur atmosphérique dépend uniquement de la pression extérieure et non de celle d’un compresseur ou d'un turbocompresseur.
Ce type de moteur est utilisé pour les motos et pour de nombreuses voitures de sport, afin de réduire le temps de latence d’un turbocompresseur[2],[3].
En 2021, pour les moteurs à quatre temps des voitures, cette technique disparaît peu à peu[4] privilégiant le moteur suralimenté permettant de réduire la cylindrée et donc le poids d'ensemble du véhicule.
En moto, pour une motricité optimale, les moteurs à deux et quatre temps utilisés sont atmosphériques.
En automobile, depuis le début du XXIe siècle, avec l’évolution des nouvelles normes antipollution et devant l'efficience relativement égale des moteurs à quatre temps turbocompressés plus légers, l’ensemble des constructeurs ont progressivement cessé de commercialiser des voitures à moteur à quatre temps atmosphérique, si bien qu’en 2021, la majorité des voitures mises sur le marché (essence et diesel confondus) sont à moteur turbocompressé.
En aviation, la dépendance d'un moteur à la pression atmosphérique est contournée grâce à la turbocompression annulant, ainsi, une partie de la perte de puissance qui se produit lorsque l'avion monte à des altitudes élevées.
Le rendement le plus élevé d'un moteur atmosphérique (à deux temps) a été atteint à la fin du XXe siècle par les motos engagées par Derbi puis Aprilia en Championnat du Monde de vitesse. Ces 125 et 250 RSW puis RSA atteignent 448 chevaux au litre grâce aux travaux de développement du motoriste préparateur Jan Thiel.