Offensive Bergmann
Aujourd'hui, Offensive Bergmann est un sujet qui maintient la société dans un débat et une réflexion constants. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Offensive Bergmann a fait l'objet d'études, d'admiration et de controverses. Son impact sur la vie quotidienne des gens est indéniable et son influence dans des domaines tels que la politique, la culture, la technologie et l'éducation est évidente. Tout au long de l'histoire, Offensive Bergmann a évolué et s'est adapté aux besoins et aux demandes de la société, devenant ainsi un élément indispensable dans la vie moderne. Dans cet article, nous explorerons différents aspects et perspectives liés à Offensive Bergmann, en analysant son importance, ses conséquences et son avenir.
Pour les articles homonymes, voir Bergmann.
| Date | - |
|---|---|
| Lieu | Vilayet d'Erzurum, Empire ottoman |
| Issue | Victoire ottomane |
.svg){kind=small} Empire ottoman |
 Empire russe |
| Hasan Izzet Pacha |
Georgi Bergmann |
| 3e armée 118 000 |
100 000 |
| 14 000 | 40 000 |
Campagne du Caucase
Première Guerre mondiale
Batailles
| Coordonnées | 41° 43′ 00″ nord, 44° 48′ 00″ est | |
|---|---|---|
 |
L'offensive Bergmann (en turc : Bergmann Atağı ; en russe : Берхманнский прорыв ; dans la littérature russe : Кёприкейская операция, « Opération Köprüköy ») est le premier engagement de la campagne du Caucase pendant la Première Guerre mondiale. Le général Georgi Bergmann, commandant du 1er corps d'armée du Caucase, prend l'initiative contre l'Empire ottoman[1].
Le , les troupes de Bergmann franchissent la frontière dans la direction générale de Köprüköy. Sur le flanc droit, une brigade sous le commandement d'Istomine se dirige à partir d'Oltu en direction d'İd[1]. Sur le flanc gauche, une division cosaque sous le commandement de Baratov se déploie dans la vallée d'Eleşkirt vers Yuzveran, après avoir traversé l'Araxe[1].
En réponse, la 3e armée ottomane lance une contre-offensive générale[1]. Les forces russes sont alors menacées par un mouvement en tenaille. Seule l'arrivée rapide des renforts russes sauve la situation. Le combat tourne finalement court le [1].
En conséquence, les pertes russes s'élève à 40 % et leur moral s'en retrouve secoué. Pendant ce temps, le moral turc est élevé, le succès de cette première mission encourage Enver Pacha dans son plan d'attaque de Sarikamis[1],[2].
Références
- (en) Eugene Hinterhoff, The Campaign in Armenia. Marshall Cavendish Illustrated Encyclopedia of World War I, vol. II, New York, Marshall Cavendish Corporation, , 500 p. (ISBN 0-86307-181-3).
- ↑ (ru) A. M. Zaïontchkovski, Первая мировая война (Pervaïa mirovaïa voïna) , Saint-Pétersbourg, Poligon, , 878 p. (ISBN 5-89173-082-0).
