Dans le cadre de Par les champs et par les grèves, nous trouvons aujourd'hui un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt. Ce sujet a généré des débats, des discussions et des réflexions dans différents domaines, de la politique à la science, en passant par la culture et la société en général. C'est un thème qui nous invite à réfléchir sur les aspects fondamentaux de la vie, à remettre en question nos croyances et à chercher des réponses aux questions qui nous ont accompagnés tout au long de l'histoire. A travers cet article, nous chercherons à approfondir Par les champs et par les grèves, en explorant ses différentes facettes, en analysant ses implications et en proposant un regard critique et analytique sur un sujet qui nous concerne tous.
Par les champs et par les grèves | ||||||||
Auteur | Maxime Du Camp et Gustave Flaubert | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
|||||||
Genre | Récit de voyage | |||||||
Éditeur | Georges Charpentier (chapitres de Flaubert) | |||||||
Lieu de parution | Paris | |||||||
Date de parution | 15 octobre 1881 | |||||||
Chronologie | ||||||||
| ||||||||
modifier ![]() |
Par les champs et par les grèves (voyage en Bretagne) est un récit de voyage écrit par Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, rédigé en 1847 et publié séparément entre 1852 et 1881.
L'ouvrage, écrit par les deux amis, se compose de douze chapitres. Du Camp a rédigé les chapitres pairs, et Flaubert les chapitres impairs. Les chapitres de Du Camp paraissent à partir du , dans la Revue de Paris, ceux de Flaubert, à titre posthume, à partir de 1881.
Pour Flaubert, ce voyage a été « une fort jolie excursion ». Sacs au dos et souliers ferrés, ils ont fait tous deux 160 lieues dans des conditions parfois difficiles. Il se déclare très satisfait de son expédition, impressionné par la mer, « le grand air, les champs, la liberté, j’entends la vraie liberté, celle qui consiste à dire ce qu’on veut, à penser tout haut à deux, et à marcher à l’aventure en laissant derrière vous le temps passer sans plus s’en soucier que de la fumée de votre pipe qui s’envole. »
En fait, il est désolé d'arriver au terme de son équipée à travers la Bretagne, commencée un matin de : deux écrivains à l'aube de leur carrière partant à l'aventure dans une région alors assez sauvage, loin de la « civilisation », loin du tapage du monde, un peu comme « Bouvard et Pécuchet », pour écrire aussi ce livre à « quatre mains.
« Des impressions, beaucoup de digressions aussi, succulente évocation d'un récit embrassant non seulement la Bretagne, but du voyage, mais également la Touraine et l'Anjou »[1].
Le , Gustave Flaubert quitte Croisset pour un voyage en Orient qui va durer un an et demi : durant les sept premiers mois, il est accompagné de son ami Du Camp, et rédige un journal au cours de son séjour en Égypte et qu'il met au propre entre juin et .