Dans l'article suivant, Paradisier à queue courte sera abordé dans une perspective complète et détaillée, dans le but de fournir une compréhension approfondie de ce sujet. Différents aspects liés à Paradisier à queue courte seront analysés, notamment son origine, son impact sur la société actuelle, ses solutions possibles ou ses implications futures. De plus, différentes opinions et perspectives d'experts sur le sujet seront présentées, afin d'enrichir le débat et d'offrir une vision plus complète. Le but de cet article est de promouvoir la connaissance et la réflexion autour de Paradisier à queue courte, dans le but de promouvoir une compréhension plus large et plus critique de ce sujet.
Paradigalla brevicauda
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Classe | Aves |
Ordre | Passeriformes |
Famille | Paradisaeidae |
Genre | Paradigalla |
Statut CITES
Le Paradisier à queue courte (Paradigalla brevicauda) est une espèce d'oiseaux de la famille des Paradisaeidae.
Chaîne Centrale (Nouvelle-Guinée) : des monts Weyland jusqu’à la région de Goroka à l’est
Le paradisier à queue courte est inféodé aux forêts de montagne et à leurs lisières dont il occupe l'étage moyen et supérieur (Gilliard 1969). Il occupe les forêts, y compris de hêtres (Nothofagus), les formations secondaires, les lisières de forêts et les abords de jardins entre 1 400 et 2 600 m mais surtout entre 1 600 et 2 400 m (Frith & Frith 2009).
Son régime alimentaire comprend des fruits et des petits animaux vivant dans des plantes épiphytes (insectes, araignées, vers, grenouilles arboricoles, scinques). Il explore la strate moyenne ou supérieure de la forêt mais aussi la proximité du sol (Frith & Frith 2009). Ottaviani (2012) montre, photo à l’appui, un spécimen consommant des fruits d’un Dendromyza, amphorogynacée.
Le cri d'appel est un hoo-ee mélodieux auquel l’oiseau peut répondre à l'imitation. Le chant consiste en une série de cinq notes sifflées, aiguës et un peu monotones dont les quatre premières montantes et la dernière prolongée (Gilliard 1969).
Le nid est construit dans la fourche d’un arbre ou d’un arbuste feuillu de 5 à 11 m de hauteur, en lisière de forêt ou dans un jardin isolé de la végétation la plus proche. C’est une assez large coupe de racines et ramilles mêlées à de la mousse, des frondes de fougères et de petites plantes feuillues dont des orchidées. Le bord du nid est entièrement composé d’un enchevêtrement de sarments et de vrilles de vigne avec un revêtement intérieur de feuilles sèches et de fines vrilles foncées (Frith & Frith 2009).
BirdLife International (2011) considère l’espèce comme « de préoccupation mineure » car elle occupe un vaste territoire et présente des populations stables sans menace notable.