Parallélogramme

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Un parallélogramme ABCD.

En géométrie, un parallélogramme est un quadrilatère dont les segments diagonaux se coupent en leur milieu.

Définitions équivalentes

En géométrie purement affine, un quadrilatère ABCD est un parallélogramme (au sens défini en introduction) si et seulement s'il satisfait l'une des propriétés équivalentes suivantes :

Si de plus les quatre sommets sont trois à trois non alignés, ces propriétés sont aussi équivalentes à la suivante : les côtés opposés sont parallèles deux à deux, c'est-à-dire : (AB) // (CD) et (AD) // (BC).

En géométrie euclidienne, sous cette même hypothèse, ces propriétés sont aussi équivalentes à :

Propriétés

Cas particuliers

Aire

L'aire d'un parallélogramme est égale à celle du rectangle de mêmes base et hauteur.

Soient b {\displaystyle b} la longueur d'un côté du parallélogramme et h {\displaystyle h} la longueur de la hauteur associée. L'aire A {\displaystyle A} du parallélogramme vaut :

A = b × h . {\displaystyle A=b\times h.}

L'aire d'un parallélogramme est aussi donnée par un déterminant.

Antiparallélogramme

Article détaillé : Antiparallélogramme. Un antiparallélogramme.

Un antiparallélogramme est un quadrilatère croisé dont les côtés opposés ont la même longueur deux à deux.

Dans un antiparallélogramme, les angles opposés ont la même mesure en valeur absolue.

Équipollence et vecteurs

Articles détaillés : Équipollence (mathématiques) et Vecteur. (C,D) et (E,F) sont équipollents à (A,B).

Il est désormais classique de définir la notion de parallélogramme à partir de celle de vecteur (voir supra) mais on peut inversement, à partir de la notion de milieu, définir (comme en introduction) celle de parallélogramme, puis celle d'équipollence de deux bipoints, et enfin celle de vecteur :

On retrouve alors qu'un quadrilatère ABCD est un parallélogramme si et seulement si A B → = D C → {\displaystyle {\rm {{\overrightarrow {AB}}={\overrightarrow {DC}}}}} .

Voir aussi

Notes et références

  1. M. Troyanov, Cours de géométrie, PPUR, 2002, p. 13.
  2. Jean Dieudonné, Algèbre linéaire et géométrie élémentaire, Hermann, 1964, exercice 1, p. 50.