Dans cet article, nous allons aborder le sujet de Parc interprovincial de Montioni sous différents angles et perspectives, dans le but de fournir une vue complète et complète sur ce sujet. Nous analyserons son impact dans différents contextes, son évolution dans le temps, ainsi que les différentes opinions et positions qui existent sur la question. Parc interprovincial de Montioni est un sujet d'actualité qui suscite un grand intérêt et un grand débat, c'est pourquoi il est essentiel de l'aborder de manière rigoureuse et exhaustive. A travers cet article, nous souhaitons offrir à nos lecteurs une vision détaillée et enrichissante de Parc interprovincial de Montioni, dans le but de contribuer à la connaissance et à la compréhension de ce sujet particulier.
Pays | |
---|---|
Région | |
Coordonnées | |
Superficie |
63,99 km2 |
Type |
Parc forestier (d) |
---|---|
Catégorie UICN |
V |
WDPA | |
Création |
1998 |
Le parc interprovincial de Montioni (italien : Parco interprovinciale di Montioni) est un parc naturel italien situé entre les provinces de Grosseto et de Livourne (Toscane).
Le parc interprovincial de Montioni, d'une surface d'environ 7 000 ha, a été instauré en 1998[1],[2]. Il s'étend entre les provinces de Grosseto et Livourne, et concerne les communes de Campiglia Marittima, Follonica, Massa Marittima, Piombino et Suvereto.
Le parc est constitué par un paysage végétal dont l'histoire est liée aux activités minières, à la production de charbon et à l'exploitation forestière. Il préserve une forêt de sclérophylles à feuilles persistantes: chêne (Quercus cerris) et aulne (Ulmus minor) et est jalonné de sentiers autrefois empruntés par les bûcherons, charbonniers, bergers et chasseurs.
Au XIXe siècle la forêt fournissait en bois les hauts fourneaux de Follonica.
Le parc fait partie du Sistema dei Parchi della Val di Cornia.
Le parc contient des espèces typiques de la Maremme dont un grand nombre de sangliers, de chevreuils, de daims, de porcs-épics et d'oiseaux sauvages.
À noter les vestiges de l'exploitation des gisements d'alun, avec les restes d'un village minier de l'époque napoléonienne (Villaggio di Montioni Nuovo) voulu par la princesse de Piombino, Elisa Bonaparte. On peut encore voir aujourd'hui les mines à ciel ouvert, des chaudières et des systèmes de transport du minerai représentant une valeur culturelle considérable.
L'intérieur du parc comporte deux réserves naturelles sous tutelle de l'état : « La Marsiliana » (440 ha) et « Poggio Tre Cancelli » (100 ha)[3].